Les défis de Anna

Je crois que Lily fait une fixation sur Skinner...

Un diner romantique... ça a été dur à écrire T-T en plus j'ai pas l'impression que c'est très réussit -_-

Le diner

J’avais revêtue une longue robe rouge. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas porté ce genre de vêtement. Mais celle-ci avec de longues manches et touchait presque le sol. J’avais aux pieds des souliers à talon haut. Mes cheveux étaient remontés en un élégant chignon… j’avais même des bijoux… les seules choses étant normales était mon cache œil et mon foulard.

Essayant de marcher naturellement, je me dirigeai le plus discrètement possible vers mon point de rendez-vous, c'est-à-dire à l’entré du QG. Après avoir faillit me faire repérer par Tamaki à cause du bruit des talons, j’enlevai mes chaussures, marchant sur la pointe des pieds.

Heureusement, j’atteins la porte sans me faire repérer… ma réputation en aurait pris un sale coup si on m’avait vu ainsi. Je pu remettre mes souliers.

Je n’eu pas trop longtemps à l’attendre. Je lui souris timidement lorsqu’il s’avança vers moi, d’une démarche assuré. Il portait un habit de soirée et ses cheveux gris étaient tirés en arrière. Il n’y avait pas à dire, Skinner était très élégant.

Il me prit par le bras, m’entrainant doucement à l’extérieur. Le temps était frais, mais je me sentais bien. Peut-être était-ce ma gêne qui me réchauffait? J’avais été très surprise lorsqu’il m’avait invité un diner romantique, en me demandant de m’habiller chic. J’avais hésité avant d’accepter. Je ne me sentais pas très à l’aise dans cet accoutrement…

Nous marchâmes un moment, il m’amena jusqu’à une table, dressée à l’écart des bâtiments. Des chandelles étaient disposées sur cette dernière, il y avait aussi un vase avec quelques roses.

Nous nous assîmes, dans un silence gêné. En fait, ce n’était pas tout à fait silencieux, il y avait un peu de musique en fond. Je ne savais que lui dire, ce qui était ridicule, puisque normalement j’avais de longues conversations avec lui. Mais cette situation était loin d’être normale…

Je ne peux pas nier que j’aimais l’attention qu’il me portait, qu’il me considère en tant qu’une femme attirante. Je n’étais plus la petite Anna qu’il était venu chercher à l’hôpital, ni son élève de tir, ni son amie ou sa chef…

Il me complimenta sur ma robe, il semblait content que j’aie accepté. Je lui rendis ses compliments, il était vraiment beau en habit. Il avait aussi un air plus intimidant, plus mature. La différence d’âge nous séparant m’apparue soudainement, mais je l’écartais rapidement. Il était hors de question que je m’attarde sur ce genre de détails.

Peu à peu, la parole me revint, après tout c’était le même homme que je côtoyais depuis tant d’années. Le serveur, Martinez, nous servit un excellent plat de Spaghettis. Nous mangeâmes tout en continuant de parler de choses et d’autres.

Au dessert, je profitais d’un court moment de silence pour admirer les étoiles et la lune, qui serait pleine dans quelques jours, ce qui signifiait un peu plus de travail à l’organisation… Mais avais-je envi de penser à cela? Du tout… Je préférais de loin replonger mon regard dans celui de Skinner.

Une fois le repas terminé, il m’invita à danser.

- Mais je ne sais pas danser…

- Moi non plus, et alors?

Souriant à cette réponse, je me levai en prenant la main qu’il me tendait. J’enlevai mes souliers afin de ne pas causer de catastrophes. Il plaça ses mains sur ma taille et moi les miennes sur ses épaules. L’espace entre nous diminua tout au long de la chanson jusqu’à disparaitre.

Nous restâmes un long moment ainsi, un contre l’autre, jusqu’à ce que Martinez fasse tomber une assiette et nous sorte de cette transe. Je remis mes souliers et mon cavalier m’accompagna jusqu’à ma chambre.

Une fois devant ma porte, je l’embrassai avant d’entrer dans mon antre.

Ça avait été une très belle soirée.

Un autre défi de lily... celle qui donne plus vite les défis qu'elle ne les lis...

Et ils vécurent heureux…

J’adore fouiner partout, comme plusieurs le savent. Je suis même persuadée que j’aurai fait une excellente observatrice, si ça n’avait été qu’une borgne, ça ne passe pas inaperçue…

Je dois avouer que cette journée là, je n’avais pas prévue de me lancer sur une enquête interne, seulement faire quelques recherches sur le sasquatch, sujet que j’avais malheureusement abandonné ces derniers temps. Ensuite j’aurai surement passé quelques heures à terminer des rapports en retard avant que Koenig ne m’arrache la tête…

Donc j’étais dans la bibliothèque, en train de lire de la documentation, lorsque je remarquai Brandford qui passait près de moi. Mais que faisait-elle ici? J’aurai pensé qu’elle aurait refilé les recherches à quelqu’un d’autre… Sauf si le sujet était si important qu’elle devait s’en charger elle-même…

Il n’en fallait pas plus pour que ma curiosité soit piquée. Elle se dirigea vers un rayon dans un coin de la pièce où je n’avais jamais vraiment regardé. Une fois qu’elle fut partie avec le livre l’intéressant, j’allai voir sur quel sujet elle lisait. Quelle ne fut pas ma surprise de constater qu’il s’agissait non seulement d’une section remplie de romans, mais que celui qu’avait vraisemblablement pris la rousse était un roman à l’eau de rose…

Ma curiosité n’en était qu’attisée davantage, je me mis donc en tête de confirmer qu’elle lisait bien le livre. Pourquoi cela? Peut-être juste pour prouver qu’elle est plus humaine que ce qu’elle laisse croire…

Ainsi commença ma quête de vérité.

Il fallait tout d’abord que je trouve l’endroit où elle pouvait bien lire ces fameux romans… en espérant que ça n’était pas que dans sa chambre, car aussi bien annuler ma mission improvisée. Je n’étais pas suicidaire après tout…

J’entrepris donc de la filer, notant ses habitudes, me disant que ça serait sans doute utile plus tard…

Un jour, je m’infiltrai dans la sale de repos des commandos, ce qui fut sans doute une des pires idées qui me soit passée par la tête : Non seulement je perdis plusieurs heures enfermée dans un placard à observer les gens qui passaient, mais la rousse ne passa qu’un court instant… Il était clair qu’elle ne s’installerait pas là pour lire tranquillement.
Je ne pu sortir de ma cachette que tard le soir, lorsque la pièce fut enfin vide. C’est donc courbaturée et complètement crevée que j’allai me coucher.

Je continuais d’observer discrètement la chef des commandos, jusqu’à ce que me vienne une idée un peu étrange pour possiblement découvrir ce que je cherchais.
Donc un avant-midi qui semblait aussi normale que possible dans la Légio, je me promenai avec une haute pile de dossiers, sachant que Brandford devait en faire de même, car elle devait aller remettre des rapports à Koenig.

J’arrangeai donc une «collision accidentelle» qui envoya nos dossiers valdinguer un peu partout dans le couloir.

- Regarde où tu vas borgnette!

Ne relevant pas cet horrible surnom, je me confondis en excuses tout en ramassant les papiers. Ça pris un bon moment à démêler le tout, et je crus à un moment que je ne vivrais pas jusqu’à la fin de la journée, mais nous y arrivâmes.

Je retournais à mon bureau en essayant de ne pas paraitre trop louche. Une fois la porte verrouillée, je sortie ma trouvaille : Ce n’était pas le roman, c’était même mieux! J’avais entre les mains un journal intime!

J’en lu une grande partie et j’en fus grandement troublée… Il y était question des sentiments de la rousse pour notre supérieur… Une des nombreux trucs griffonnés se résumait ainsi :

«Lily, les cheveux au vent combat sauvagement des hordes de zombies, même surpassé par le nombre, elle leur tient tête, malgré la fatigue l’envahissant. Alors que l’espoir de s’en sortir commence à vaciller, il surgit : galopant sur son magnifique cheval blanc, volant à la rescousse de sa dulcinée, le seul, l’unique, le magnifique Heinrich!

Il fait monter sa bien-aimée sur son cheval et ils s’en vont, vers le soleil couchant en décapitant les zombies…»

Je ne sais toujours pas si le plus bizarre était le contenu de l’histoire, ou les petits cœurs un peu partout sur la page…
Quoi qu’il en soit, je décidai que c’en était assez.

Après quelques tours de passe-passe, je réussis à entrer dans le bureau de Brandford sans me faire coincer et y laissai le journal, espérant oublier ce que j’y avais lu, afin de pouvoir garder mon sérieux en face de la rousse.

J'adore le 2e ^_^
surtout la fin ;p

Oh cat! Si tu étais là!
XDDD je PLEURE de rire!
J'en peut pluuuussss XDDD
Je manque d'airrrrrrr
Trop bien relevés tes défis!
Mais.... XD t'a vraiment reprit les zombies!!!
Génial

HOLY SH*t XDDDDD
Juste trop bon XD

Un défi de Malf cette fois.
J'espère qu'il sera à la hauteur de vos attentes...

J’étais sur le chemin de la bibliothèque, lorsque j’entendis des bruits étranges. Tendant l’oreille je crus entendre un rire et se qui ressemblait à des ventouses. Qu’est que cela pouvait-il être?

Tournant à l’angle du couloir, je trouvais deux formes collées une à l’autre dans un coin. C’était vraisemblablement un couple. L’homme avait des cheveux noirs, je ne voyais pas ses traits, puisqu’il me tournait le dos, mais il n’était pas des observateurs. Ils bougèrent un peu je reconnu immédiatement celle étant accroché à ses lèvres : Touchette.

-Mais que faites-vous là?

L’homme se tourna, me regardant avec l’air de celui qui se fait dérangé :

- On se bécote, c’est plutôt évident…

Je n’aimais vraiment pas le ton qu’il avait employé en me répondant. Comme s’il était normal de s’adonner à se genre d’activités dans les couloirs!

- Aless… c’est Yuko Tamaki, la chef des observateurs… malgré les apparences, elle reste tout de même notre supérieur hiérarchique…

Au moins La borgne semblait avoir un peu de jugement… Je lui fis signe que j’avais à lui parler sans l’autre.

- Écoutez, on est majeur et vacciné, on fait ce qu’on veut…

- Je sais. Mais vous n’avez pas à vous afficher de la sorte… Et peut-être vaudrait mieux en avertir monsieur Koenig?

- Mais c’est pas de ses affaires! Tout comme ce n’est pas les vôtres…

- Si vous n’étiez pas Intérim, presque chef de section, ça serait une autre histoire, mais vos actions ont maintenant une répercussion sur le reste de l’organisation.

Elle se détourna, pour aller attraper la main de l’homme et ils s’en allèrent. Je ne pouvais m’empêcher de me demander si c’était sérieux où si c’était encore un moyen de mettre le bordel… Non, elle avait souvent de sales idées, mais elle n’était pas du genre à faire ce genre de blague… Quoique…

Je ne savais pas si elle suivrait mon conseil, elle pouvait être très entêtée parfois… Quelques pas plus loin, je sus qu’elle n’avait pas eut le choix de parler de sa relation à Koenig et Brandford. Il faut dire que se promener main dans la main dans les couloirs, ça manque de discrétion…

- Que cela ne nuise pas à votre travail, sinon il y aura des conséquences…

Je ne sais pas pourquoi, mais je m’attendais à une plus grande réaction de la part de notre chef. Quoique sa voix était chargée de menaces… Que leur ferait-il si leur relation commençait à nuire à leur productibilité? Des images affreuses me traversèrent l’esprit… Il n’était certes pas content, mais il les laissait en vie… pour l’instant.

Tant qu’à Brandford, elle semblait étrange. Elle jetait de petits coups d’œil à Koenig. Il y avait quelque chose d’étrange dans son regard lorsqu’elle regardait le couple… Était-ce de la jalousie? Et moi qui pensais que les émotions de cette gamine se limitaient à la haine, la colère et la soif de vaincre…
Mais bon, tout le monde peut se tromper…

Le couple poursuivie son chemin, pendant que les deux autres les regardaient s’éloigner. À quoi ces deux sadiques pensaient-ils? Peut-être valait-il mieux l’ignorer…

J’étais curieuse de voir les réactions des autres lorsqu’ils apprendraient pour les deux agents. Comment je savais que l’homme était un agent? Le dégout que la rousse avait affiché en le regardant… Et oui, on pouvait deviner plus de chose qu’il n’y paraissant dans son regard…


Ils croisèrent Claymore, d’ailleurs, je ne savais pas que Touchette la connaissait… La blonde ne semblait pas trop comprendre :

- Quoi vous êtes ensemble? Je vois pas le rapport, je ne tiens jamais la main de mes coéquipiers…

- Je le sais bien… quand je dis «ensemble » j’entends par la que nous sommes un couple…

- Un couple? C'est-à-dire?

- Comme des amoureux… comme vos parents l’étaient…

Étant à cour d’idées pour expliquer la chose, la borgne se contenta de carrément la démontrer en embrassant l’homme.
Je vis la compréhension traverser le regard de la commando. Il faut dire qu’il aurait fallu être dans un état végétatif pour ne pas comprendre après une telle démonstration… Les deux agents se séparèrent, attendant la réaction de la jeune femme.

- Je pourrais être la marraine de votre premier enfant?

Je les vis rougir tout les deux… Ils étaient sans voix. Ils ne savaient plus que dire... Soit ils n’avaient pas envisagé d’avoir des enfants, soit ils n’en voulaient pas… où ils ne voulaient pas d’une commando comme marraine… J’étais curieuse de voir comment ils allaient se sortir de cette situation.

- Disons qu’on n’est vraiment pas à cette étape… On en reparlera si le sujet devient un jour d’actualité…

La couple s’en alla, surement se trouver un petit coin tranquille… Je repris alors le chemin de la bibliothèque, j’avais déjà perdu assez de temps…

J'adore XD Absolument trop trop marrant XDD

-Bheu?.. En quoi c'est drôle?

Laisse tomber XDDD

Félicitation en tout cas xD

Et hop, un petit défi! qui est en fait plutôt long XD
Donc voilà... Wilson en chien!

Chasse au Wilson

J’avais du accompagner Tamaki jusque dans l’antre des Von Carsteins. Pas que j’en avais envi, mais il semblait que cette peureuse avait peur d’y aller à seulement à trois… Comme si être quatre pouvait vraiment changer quelque chose…

Donc je trainais derrière l’observatrice, Smith et Claymore. Je regardai autour, question de repérer les issus ou n’importe quoi de potentiellement utile…

Puis la voix de l’autre agente appela quelqu’un que j’aurai cru mieux caché… Wilson!
J’eu tout d’abord de la difficulté à y croire… Mais c’était bien lui, accompagné de son éternelle nervosité. Quoique vu sa traitrise, il avait bien raison d’avoir peur…

Je regardai un moment la nippone, question de voir ce qu’elle comptait faire, car après tout c’était elle la responsable de mission.

- Bonjour, James. Il y a bien longtemps que personne ne vous avait aperçu.

- Ma chère Yuko, vous savez comme ce travail est prenant... Je ne voudrais d'ailleurs pas vous retarder.

J’écumai, elle ne voulait rien faire ou quoi? Pour moi, il était hors de question de le laisser filler sous prétexte que nous étions entourées par des vampires dont nous n’étions soudainement plus certaines de l’allégeance…

Alors qu’il s’éloignait, je ne pu me retenir de partir à sa poursuite. Il commença à courir en voyant la rage sur mon visage. Je cru un instant que les vampires allaient m’attaquer, mais par chance ce ne fut pas le cas… surtout que mon ancien chef fit une grande erreur : Sortir dehors en plein soleil.

Sa seconde erreur fut de jeter un coup d’œil derrière afin de constater ma progression… Il trébucha sur une racine.
Je pris mon élan et lui sautait dessus. Lorsque mon corps s’écrasa sur le sien afin de l’immobiliser, j’entendis un léger « pop », me retrouvant sur… un chien?!

Étonnée, je regardai la bête : C’était un berger allemand croisé avec une autre race, peut-être du golden retriever? Il avait le poil mi-long, un long nez et de petites oreilles pendantes. Je me relevai et le chien me regarda de ses yeux marron, les yeux de Wilson… C’était étrange.

C’est à ce moment que la commando me rejoignit.

- Où est-il?

- Ici…

Elle ne semblait rien comprendre… tout comme moi. Je pris mon foulard pour lui faire une laisse et nous attendîmes que les deux autres sortent du manoir. Alors que nous nous éloignions, toutes les quatre avec le chien, nous entendîmes des cris provenant du bâtiment.

- Ils font le ménage, ce contenta de répondre Tamaki. Vous savez que votre emportement aurait pu nous couter la vie à toute les quatre?

- C’est une possibilité, mais tout est bien qui fini bien… Y’a juste que je comprends pas trop cette histoire de transformation en chien…

- J’ai peut-être une idée sur le sujet… J’irai à la bibliothèque à notre retour à la Légio.

Soudainement, le traitre se retransforma en lui-même et tenta de s’échapper. Cette fois ce fut la blonde qui le choppa… et il se retransforma en chien!

Nous embarquâmes finalement dans l’avion. Pendant un moment, Smith s’amusa à essayer de faire obéir le chien à des ordres tels que « assis », « couché » ou «donne la patte», mais la bête ne sembla pas vouloir l’écouter. Elle s’en lassa donc et retourna à son siège. C’est alors que le chien commença à me fixer d’un air triste, venant appuyer sa tête sur mes genoux.
Puis, il se retransforma en humain. Relevant un peu la tête il me dit d’un air suppliant et triste:

- Anna, ils m’ont forcé. J’ai été victime d’une malédiction et ils m’ont forcé à les aider… Je ne voulais pas que tant de gens meurent… Je te le jure…

Il semblait sur le point de pleurer. Me prenant par surprise, il me serra dans ses bras et se retransforma en chien. Je lui caressai doucement la tête, réfléchissant à tout cela… Jetant un coup d’œil à la nippone, je compris qu’elle n’avait pas perdu un mot des supplications de l’ex-agent.

Une fois à destination, elle fila à la bibliothèque, me laissant surveiller notre prisonnier. Marchant dans les couloirs, je croisai alors Koenig. L’homme s’arrêta le temps de gratter la tête de la bête :

- Oh le joli tout! Tout gentil!

- Monsieur…

- Taisez-vous Touchette! Je m’occupe du chien-chien…

- Ce «chien-chien » c’est Wilson.

C’est à ce moment qu’il redevint humain… Ce qui entraina une hausse de la pression chez le chef… Mais avant qu’il n’ait eut le temps d’étrangler/écorcher/étriper/massacrer l’autre homme, ce dernier sauta dans mes bras, reprenant sa forme canine. Ce poids me fit tomber au sol… inutile de dire que ça manquait un peu d’élégance d’être étalée par terre avec un chien sur soi…

Avant que Koenig n’ai eut le temps de vociférer des ordres, Tamaki arriva en courant. Il nous parla d’un appel des Von Carstains. Ils avaient réussit à soutirer des informations de leur traitres, qui avaient effectivement manigancé un truc avec un sorcier pour piéger Wilson. Mais ce n’était pas tout, elle avait aussi déniché quelques info sur la malédiction.

Le chien se leva et pu moi aussi me relever. Puis nous dûmes attendre. Pendant ce temps, l’observatrice attrapa Aless qui passait par là… Et finalement, Wilson repris sa forme d’origine.

- Nous allons faire un petit test. Monsieur Ricci, si vous voulez bien serrez James dans vos bras…

- Quoi?! Mais vous avez de drôles d’idées!?

- Allez Aless… un tout petit câlin…

- Je peux pas t’en faire un à toi dans ce cas?

- Ricci, tu vas serrer cet homme dans tes bras et tout de suite!

Devant la menace qu’exerçait Koening, l’agent serra notre ex-chef dans ses bras… et… rien ne se produisit.

- Exactement comme écrit… C’est la malédiction du Zodiac : Lorsqu’elle est lancé, la victime se transforme en l’animal de son zodiac chinois dès qu’il se retrouve dans les bras d’un membre du sexe opposé.

- Bon, trouvez comment arranger ça… Et une fois que c’est fait, il s’occupera des basses besognes tant qu’il n’a pas prouvé sa valeur!

Le supérieur s’en alla, nous laissant le problème entre les mains… Problème auquel nous ne trouvâmes jamais de solution… ce qui occasionna des situations bizarres… Comme le léchage de mains, de vêtement ou de visage et les transformations subites…

C’était en quelque sorte la punition de Wilson pour le mal qu’il avait fait, même si ce n’était pas voulu…

Et voilà un autre défi... pas le meilleur, mais bon, j'ai quand même bien ris en l'écrivant^^
bon... me reste encore une liste de défis à faire XD



Une des raisons qui m’ont poussée à devenir observatrice, c’est sans doute ma grande curiosité… en effet, j’adore savoir le plus de choses possibles sur ce qui m’entoure. En particulier sur mes collègues… Comme sur cette borgne, Touchette, qui a tout d’un coup gravit les échelons pour devenir chef de section… Je peux vous dire qu’elle avait une vie sociale plus que mouvementé à un certain moment. Par vie social, je parle de rencarts avec les membres masculins de l’organisation.
Très peu savait à quel point elle aimait la compagnie des hommes à une époque…

Il va de soit que je n’ai jamais rien dit jusqu’ici, car j’aime savoir, mais pas répéter… Surtout que ce genre d’information aurait pu nuire grandement à l’ensemble de la Légio Dei, ce qu’évidement, je tentais d’éviter. Pourquoi parler maintenant? Parce que presque tous ceux dont il est question ne sont plus de ce monde.

Une des histoires que je tiens à relater est celle de cette fameuse journée, ou elle a succédé les rencarts les uns aux autres. Ça avait tout d’un feuilleton télévisé, d’ailleurs, quelques uns des observateurs suivant cette histoire rocambolesque avec moi ont parlé à maintes reprises de s’installer avec du maïs soufflé.

Tout débuta tôt le matin, alors qu’elle alla prendre le petit déjeuné dans le bureau de Koenig. Je sais qu’on raconte souvent que la haine est proche de l’amour… mais les menaces de mort dans tout ça? Nous avons malheureusement du rester à l’écart, question de na pas attirer les foudres du chef.

Ensuite, elle se rendit à la salle d’entrainement pour passer du temps avec un certain Skinner…. Et croyez-moi, c’était loin d’être un simple entrainement de combat à main nues… Surtout de la façon dont les dites mains se baladaient… Mais bon, on peu supposer que les autres ne remarquèrent pas, trop occupés à leur propre entrainement…

Après une douche, elle alla déjeuner avec Wilson. Elle flirta un moment avant de s’excuser… et elle alla ailleurs prendre le dessert avec un commando! Malheureusement, personne ne réussit à écouter ses conversations… Les observateurs se doivent de rester discret après tout, il en va de notre réputation!

Puis, en après-midi, elle alla au cinéma avec Van Halen dans une salle et avec un autre agent de terrain dans une autre… Elle passa tout le temps des films à changer de salle… Pas étonnant que maintenant elle croit que Captain América porte un anneau vert…

Le moment du diner venu, elle changea de nombreuses fois de table, alternant entre celle de Ricci et celle de Martinez. À chaque fois, elle semblait donner des excuses bidons : Se repoudrer le nez (comme si elle faisait ça), un téléphone important ou encore d’autres excuses du genre… Je ne comprends toujours pas comment elle a réussit à ne pas se faire prendre…

- hum! Hum! Peut-être parce que ce n’est jamais arrivé? Si seulement Koenig était encore là pour t’entendre raconter ces âneries… Tu aurais droit à un petit séjour dans une geôle…

- Mais bien sur… tu devais avoir trop but, tu as tout oublié…

- Crois moi, ce genre de journée, je m’en rappellerai… mais dis-moi, tu serais pas jalouse parce que malgré mon sale caractère et mes autres nombreux défauts, je réussis tout de même à attirer les hommes alors que toi tu reste toute seule dans la bibliothèque depuis de nombreuses années? Arrête d’essayer de salir ma réputation!

- Bon d’accord, je suis désolée… je recommencerai plus…

XDDD J'adore, l'idée sortit de Fruits Basket xD ce fut bien amusant xD Et enfin Yuko Jalouse XD C'est marrant aussi xD

Il y avait longtemps, mais Malf m'a lancé un défi et comme souvent j'y ai vu deux versions possible.
peut-être que personne ne lira, mais je les ai surtout écrit pour moi, pour faire mon deuil, en quelque sorte...

Tout semblait normal ce matin là, j’avais pris mon petit déjeuné très tôt, comme à chaque jour. Puis, je m’étais dirigé vers la bibliothèque, ce lieu où je me sentais si bien, où tout me semblait à sa place et dans le bon ordre. Il y avait certes de la poussière à certains endroits, où les ouvrages dormaient depuis une dizaine d’années, mais tout était à sa place. J’aimais ce qui était ordonné, j’avais toujours adoré l’ordre.

C’est surement pour cela que je ne supportais pas cette peste de Touchette qui se plaisait dans le fouillis et aimait répandre la zizanie… Quelle plaie celle-là… heureusement elle ne venait pas trop souvent trainer dans mon antre sacré qu’est la pièce du savoir.

Cependant il semblait que cette journée-là, elle avait décidé de m’imposer sa présence… Moi qui étais confortablement installée, je fus très déçue de la voir arriver en courant. Elle ne semblait pas dans son état normal, aussi normal qu’elle puisse être le reste du temps…

- Tamaki! Aide-moi! L’autre folle veut me tuer!

C’est avec horreur que je la vis venir se cacher derrière moi… J’avais l’air d’un bouclier humain moi?
Il semblait que pour elle, oui.

J’entendis un cri de rage reconnaissable entre mille, et je vis la borgne pâlir.

- Qu’avez-vous fait à Brandford pour la mettre dans cet état?

- Heu… rien du tout… enfin, presque rien…

- C’est-à-dire?

- J’ai un peu emprunté son journal intime… et je l’ai un peu lu…

Je dois avouer que le contenu de ce journal m’intriguais, mais je me retins de poser des questions, ça aurait été indigne de moi… Et il fallait que je me montre plus mature que la chef par intérim, mais je me permis une remarque narquoise :

- J’espère que ce que vous-y avez trouvé valait aussi cher que votre vie…

Je ne pu avoir de réponse, car la chef des commandos débarqua dans la bibliothèque… avec son bazooka!

- Miss Brandford… Je vous prierai de régler vos comptes avec Touchette ailleurs que dans la bibliothèque…

- Qu’elle en sorte alors!

- Pff… J’suis téméraire, mais pas suicidaire!

Je sentais le drame qui approchait… Et ce fut confirmé lorsque la rousse leva son arme, visant l’autre femme... derrière moi! Nous nous écartâmes, ce qui nous permis de survivre à cette attaque destructrice…. Mais pas l’étagère derrière nous… ni le mur… Il y avait un énorme trou, un gouffre! J’étais sans voix… Elle avait osée. Elle avait tiré sur nous, dans la bibliothèque…
C’était déjà difficile à faire passer, mais ce n’était pas tout : Une immense fissure se creusait à partir du récent trou… elle s’étendait, semblant ne rencontrer aucun obstacle pouvoir l’arrêter…

- Brandford… Vous savez où nous sommes?

- Dans la bibliothèque.

- Et où est la bibliothèque?

- Au sous sol?

- Exactement… vous saviez que nous nous trouvions dans les fondations même du bâtiment?

- Et merde!

Les deux venaient de comprendre que la rousse venait de fragiliser les fondations d’un très vieux bâtiment, ce qui signifiait qu’il risquerait de s’écrouler d’un moment à l’autre… Il commençait d’ailleurs à tomber des morceaux du plafond…

Nous prîmes donc la fuite, courant comme des dératées montant les escaliers, traversant les couloirs… Nous ne réussîmes pas à atteindre la sortie. Nous n’étions pas très loin, mais le chemin fus bloqué par un tas de débris… Heureusement nous nous retrouvâmes dans une poche d’air, malheureusement, j’étais encore coincée avec les deux autres… oh pas que j’aurais voulu qu’il leur arrive malheur, seulement que j’aurais voulu être ailleurs…

Nous n’avions qu’une option… attendre du secours.

Après un long moment d’attente, un bruit attira mon attention, ça ressemblait à une voix d’homme en proie à une crise d’hystérie… je me collais l’oreille près d’un trou afin de mieux entendre…

- Je suis seul! Ils sont tous partis… tout s’effondre…

- Et moi? Je compte pour du beurre peut-être?

- Ricci, Taisez-vous et laissez-moi faire ma crise d’angoisse en paix!

Je dis aux deux autres que nous n’étions pas les seules à être coincées. La chef des commandos cria aussitôt au grand chef pour lui faire connaitre notre présence… dommage, ça avait quelque chose d’intéressant de l’espionner…

Nous fûmes finalement secourus en fin d’après-midi. Il ne restait que des décombres du siège de la Légio Dei. De cette grande organisation, il ne restait que de la poussière…
Et quelques personnes ici et là en proies à des crises d’hystérie… Les autres semblent d’ailleurs être en train d’accusée Touchette… Bien fait pour elle!

La fin d'une histoire

J’écris ces lignes afin que tout ne soit pas perdu.
Qu’il reste au moins une trace quelque part de nos accomplissements, de ce que nous avons vécut… Car nous avons existé et je voulais que cette existence soit reconnue, ou plutôt que quelqu’un sache, en lisant cette lettre.

Qui nous sommes? De simples humains, qui avons du combattre des forces nous dépassant. Ces forces prenaient toute sorte de formes, esprits, créatures, êtres humanoïdes… et d’autres humains. C’est d’ailleurs ce dernier monstre qui nous a menés à notre perte… mais une chose à la fois.
Je faisais partit d’une organisation secrète dirigée par le Vatican : La Légio Dei. Personne d’externe n’était au courant de nos activités de chasse contre les êtres maléfiques. S’il y avait une fuite, soit on enrôlait les personnes informées, soit on les éliminait. Je n’étais jamais d’accord avec la seconde option, mais ce n’étais pas moi qui dirigeait. Bon, j’avais la direction d’une section, poste que j’ai reçu bien malgré moi… mais je n’avais pas le dernier mot en ce qui attrayait aux grandes décisions.

Notre quotidien était donc loin d’être banal, chasser des êtres dont les gens ne se doutent même pas de l’existence réelle, aux quatre coins du monde… C’était une vie d’aventures et de dangers!

Nous allions de mission en mission, de pays en pays, accomplissant ce pour quoi nous étions formés, ce à quoi nous avions accepté de vouer notre vie. Ce pouvais presque avoir l’air routinier : Se déplacer, se renseigner, repérer l’ennemi, l’éliminer, effacer les traces, repartir… Et le cycle recommençait, encore et encore… mais rien n’est éternel, n’est-ce pas?

Alors que tout semblait bien aller, les choses commencèrent à échapper à notre contrôle.
Des complots commencèrent à se former à notre insu, enfin, pas totalement à notre insu, puisqu’un jour nous découvrîmes que quelque chose se tramait au cœur même de la Légio. Sans entrer dans les détails de cette sombre affaire, un des chefs de section nous a trahis… Non seulement il a joué dans le dos de tout le monde, mais il a révéler des secrets à nos ennemis, causé des morts…
Si ça n’avait été que de cela, nous aurions pu nous en remettre, mais les répercussions furent catastrophiques.

Tout d’abord, il y eut les fuites, pas une ou deux… mais des centaines! Un peu partout dans le monde, sur internet, dans les journaux et à la télévision… trop pour que nous puissions les camoufler.
Ensuite, il y eut les attaques contre certains de nos membres parti en mission, ce fut de lourdes pertes dans nos effectifs… et nos amis.

Et puis le coup de grâce : à force de manigance et de manipulation de la part de nos ennemis, le Vatican nous tourna le dos. Le démantèlement de la Légio Dei fut ordonné… malgré les preuves incriminant d’autres organisation, des taupes parmi nos rangs et les membres de l’église et même des politiciens… malgré tout ce que nous avions fait pour préserver l’humanité des forces obscures… Nous avions été en quelque sorte condamnés… par ce qui semblait être les vrais coupables…

Nous n’avons toujours pas à ce jour pu prouver que nous avons été victime d’un coup monté visant à nous faire tomber… Tous continuent de croire que nous nous sommes planté seul, mais nous, nous savons.

Notre organisation est peut-être morte, mais son esprit vit encore en ceux qui ont su croire en elle. Quelque part, au fond de nous, la flamme brûle toujours.
Et nous attendons que la vérité éclate.

Nous, les chefs, les dirigeants, les agents, les commandos, les observateurs, qui jamais n’ont changé d’allégeance.

Nous les hommes et les femmes qui ont protégé le monde, nous continuons de faire ce qui est devenu notre vocation. Que les gens le veulent on non, nous sommes toujours là, quelque part à veiller à la tranquillité des simples gens.

Maintenant vous savez que nous avons été là et que nous le sommes toujours, cachés dans les ténèbres.

A.T.

-o-O-o-

Voilà, je crois que c'était mon dernier défi, j'aurais aimé finir la fameuse liste de lily, mais sans lecteurs, c'est trop triste... et pathétique en quelque sorte.

Par ces deux défis, on peut dire que je fais le deuil de Hiddden in Dakness. Qu'ils soient lu ou non, je les ai écrit pour moi, parce qu'il le fallait. Je les garde précieusement, avec les 27 autres, et avec tout mes bons souvenirs de rp et de cb.

Hidden m'aura fait grandir en tant qu'auteure et m'aura permis de faire plein de rencontre et des amis,

merci à tous

Anna

j'aurai aimé que tu puisse la finir.
Ces deux histoires étaient comme toujours très bien écrites, et c'est effectivement une belle façon de faire le deuil.
Désolé que ça finisse ainsi.