Les défis de Anna

J'espère que c'est assez délirant... moi j'ai pris beaucoup de plaisir à l'écrire^^


Parfois, je crois qu’il y a certaines choses que l’on doit garder pour soit… Ce rêve étrange en fait surement partit. La question que je me pose, c’est comment je pourrais regarder mes collègues et patrons en gardant mon sérieux après cela? Peut-être vaudrait-il mieux que je vous raconte finalement, pour que vous compreniez mon malaise…

Au début j’étais dans une prairie immense où des moutons broutaient paisiblement. Une des bêtes vint me lécher la figure, je sais jusque là rien de très passionnant. La bête se leva, baissait la fermeture éclaire sur son ventre, et Kroenig sortie du déguisement. Il commença à courir entre les moutons, seulement vêtu d’un boxer rose, criant : Je suis le chef des moutons! Suivez-moi!

Les animaux le suivirent effectivement, cependant plusieurs enlevèrent aussi leur costume : Claymore, qui commença aussitôt à poursuivre des souris. Ricci, qui sembla ne pas savoir quoi faire. Les chefs de sections étaient aussi là, ils commencèrent à jouer à la marelle. Mais mon chef trichait, alors la rouquine l’explosa à coup de bazooka. Tamaki se planqua derrière un éléphant. Par contre ce dernier aperçu une souris et s’enfuit, allant s’enliser dans la marre de jell-o. Heureusement, Dark Vador utilisa la force pour le sauver.

- Anna, je suis ton père!

Une longue plainte s’échappa de ma gorge. Ricci se posta devant moi, attrapant un sabre laser, il dit aussi être mon père. Ils combattirent donc pour les droits de paternités… Il fallait que je trouve ma mère, elle saurait qui était mon père…

C’est ainsi que commença mon périple. Je du tout d’abord traverser les terres du Mordor, puis un nain m’avertit que je m’étais trompé de direction, alors je les retraversais, mais cette fois, les Orcs m’aperçurent et me pourchassèrent jusqu’à ce que je leur lance des cheerios, qu’ils rapportèrent à leur maitre.
Bientôt, j’arrivai à l’océan, où Van Halen attendait pour de dire : «Chat! C’est toi le chat!» Avant de prendre la fuite en kayak. J’étais frustré, donc je pris la moto marine pour le poursuivre, mais un navire pirate coula nos embarcations… Le kraken me déposa sur le bateau, décidant de garder le blond. Tous se mirent à genoux m’implorant le pardon car ils n’avaient pas vu que j’étais une déesse pirate… Je les maudis tous et partis à la nage.

C’était une mauvaise estimation de la distance avec l’autre continent. Par chance, Sar, devenue sirène me conduit en sécurité jusqu’à la terre ferme. Elle n’arrêtait pas de pleurer ou de rire, elle était bizarre cette fille…
Lorsque je trouvais enfin ma mère, je lui demandais qui était mon père, elle me répondit : «moi» en enlevant son costume, laissant place à Koenig. Cette révélation me bouleversa à un point que je fis une fugue. Recroisant Ricci et Vador, qui étaient maintenant super copain, ils m’annoncèrent qu’ils ne voulaient plus être mon père. Ce qui m’attrista, je les suppliais, leur promettant d’être une gentille fille… mais lorsqu’ils commencèrent à danser en tutu rose, je changeais d’idée et retournais voir Koenig.

Mais l’homme avait disparu! Il y avait des traces rougeâtres au sol, je les suivis, craignant de trouver mon «père» agonisant au moindre détour. Je me retrouvais rapidement dans une grande salle remplie de membre de la Légio Dei. En avant, sur l’estrade, notre patron brandissait une bouteille de Ketchup et un poignard.

- NOONNN! Ne faites pas cela! Elle ne vous a rien fait! Elle est innocente!

- Elle a osé souiller mon chandail! Elle servira de sacrifice!

Courant pour arrêter le geste du patron, je me pris les pieds dans une branche et tombai dans un trou… Pour me retrouver de nouveau dans le champ aux moutons. Je ne comprenais rien à cette histoire, car à ce moment là, je n’avais toujours pas réalisé qu’en réalité, je dormais toujours au fond de mon lit.

Un chat flottant dans les airs vint me parler, il n’arrêtait pas de changer de couleur il passait du mauve au bleu foncé :

- Quelle couleur me va le mieux? J’ai l’impression que le bleu avantage ma silhouette… T’en pense quoi?
Je lui dis simplement qu’il avait raison, satisfait, il disparu tranquillement finissant par la tête, son sourire persistant encore plus longtemps. Il me donna toutefois un avertissement, je devais me méfier de la panthère rose.

C’est à ce moment que je vis une grande panthère de cette couleur féminine passer, poursuivit par un inspecteur et sa loupe. L’homme s’arrêta pour me regarder, puis il s’avança pour me faire face. Il m’observa un moment et il enleva mon bandeau d’un coup rapide, hurlant :

- La voilà enfin! La panthère rose.

Il brandit une énorme pierre précieuse rose, qu’il avait visiblement trouvée derrière mon cache-œil… Soudain je me retrouvais dans une foule en colère.

- Je t’avais dit de te méfier, déclara le chat à mon oreille. C’est une vieille canaille cette panthère…

Je ne savais comment prouver mon innocence. Soudain j’eu une idée, attrapant Tamaki, je criai à la foule qu’elle m’avait drogué pour cacher le diamant là. Pendant qu’ils se jetaient sur elle, je m’enfuis, manquant de percuter un mur. Pourquoi il y avait un mur là? C’en était trop! Frustrée je lui donnais un bon coup de poing.

Sursautant et la main douloureuse, je me réveillais dans mon lit en regardant bêtement le mur bien réel dans lequel j’avais frappé…

Vous comprenez maintenant pourquoi je préfère me pousser lorsque j’aperçois certains de mes collègues?

haha énorme ^^
absolument génial ^^

la scène des moutons m'a particulièrement tuée ^^

je suis quand même étonné que le chat ne t'ai pas volé un chapeau ;p

l'avantage de pas avoir de chapeau, c'est qu'on se le fait pas voler

Si quelqu'un a un autre défi pour moi, je suis preneuse!

Mon cerveau amorphe a besoin d'un peu de stimulation...

J'ai réussis à soutirer un défi de Malf:
«décris-nous, la surprise lorsque tu as enfin découvert que les agents de terrain avaient réellement un chef de section et que ce n'est pas seulment un mythe, mais que, malgré tout tes efforts, pas moyen de le voir»

j'espère que ça vous plaira^^


Je mangeais tranquillement dans la cafétéria, entourée par d’autres agents de terrain. Ils parlaient, de leurs missions, des derniers disparus, des problèmes de communications et d’entrainement dans la Légio Dei… et de notre chef de section… Notre chef de section?! Je n’arrivais pas à le croire… nous en avions un?!

- Tu te moque de moi Skinners? On n’a plus de chef depuis un bail…

- Je te jure! Koenig en a nommé un nouveau! C’est ce type un peu bizarre qui se mêle pas vraiment à nous… tu sais celui qui a failli se faire bouffer par une bestiole dégueulasse y’a deux mois…

Je cru savoir de qui il parlait, mais une autre agente vint le contredire :

- Attends, c’est pas plutôt celui qui a perdu connaissance devant le cavalier sans tête?

Puis chacun y mit son grain de sel, j’en vins à une triste conclusion : Personne ne savais qui était notre chef de section… Mais si nous en avions vraiment un, nous pourrions enfin avoir un moyen d’améliorer nos conditions…

C’est ainsi que commença ma traque… Mais avant de poursuivre notre chef, je devais savoir de qui il s’agissait. Je partis donc voir les pousseurs de crayon… il devait bien être écrit à quelque part qui c’était! Après beaucoup d’attente, et quelques menaces, je réussis à en avoir le nom. Bon, je saurais à qui m’adresser au moins… Je réussis même à savoir où il pouvait se cacher.

Il avait un bureau pas loin sur l’étage, quelle chance! Je m’y rendis et frappai à la porte, mais aucune réponse ne me parvint. Alors que je recommençai, quelqu’un qui passait là m’appris qu’il se trouvait dans la bibliothèque. J’en pris immédiatement la direction.
Tachant de ne pas faire de bruit, je fis le tour de la pièce au moins deux fois, mais il n’y avait personne, sauf Tamaki, mais avec sa discrétion c’était comme si j’étais seule… Jusqu’à ce qu’elle m’adresse la parole :

- Je peux vous aider?

- Je cherche mon chef de section, on m’a dit qu’il était ici…

La nipponne m’apprit qu’il était partie s’entrainer un peu. Je courus donc jusqu’à la salle d’entrainement. Une fois sur place, il n’y était pas non plus et cette fois, personne ne l’avait vu. Peut-être n’était-il pas encore arrivé… Sortant pour l’attendre à l’extérieur de la pièce, je vis quelqu’un qui passait au bout du couloir. Après un instant de réflexion, je réalisai enfin que c’était lui.

Courant à toutes jambes dans le couloir, je bousculai quelques personnes. Rendue à quelques intersections plus loin, je l’avais perdu. Quelle poisse! Par où il était passé celui-là? Je demandai aux gens qui passaient s’ils ne l’avaient pas vu… mais aucunes traces de lui!

J’arpentai les couloirs, traversant le siège de l’organisation à la course, tout en questionnant tout le monde. Il s’était tout bonnement volatilisé…

Je m’arrêtai donc à la salle d’informatique, question de lui envoyer un mail. Je lui écris que j’aimerais avoir un entretient avec lui question de partager quelques idées et blablabla… J’étais sur le point de refermer le tout lorsque je reçu une réponse, enthousiasme, je l’ouvris immédiatement, perdant toute joie en constatant qu’il s’agissait d’un mail automatique :

«Je suis présentement en mission, je répondrai à votre message dès que possible»

Un grognement de rage s’échappa de ma gorge, faisant sursauter l’autre occupant de la pièce, qui parti avec un regard indigné.

génial ^^

le cavalier sans tête... hmmmmm... il a pas été renvoyé en enfer par l'inspecteur Crane? ;p

j'ai adoré en tout cas, et le mail à la fin ^^
génial ^^

J4adore ce chef, encore plus doué que les observateurs pour se barrer xD. Le mail à la fin est effectivement terrible xD

Merci pour vos commentaire^^

voilà un autre défi: Une rencontre avec un épouvantard, c'est en 2 parties, une sérieuse, que voici, et une drôle qui suivra dans quelques heures...


Des agents avaient ramené une créature bien étrange qui se cachait dans le fond d’une armoire. Plusieurs disaient que cette créature changeait de forme. Dès qu’on m’avait révélé cette caractéristique, j’avais été prise de nausées, une frayeur étreignant mon cœur: Cette caractéristique me rappelait la créature qui m’avait attaqué 8 ans plus tôt. Mais ça ne pouvait être elle, ils m’avaient confirmé à plusieurs reprises que la Hère était morte, qu’ils l’avaient abattue…

Plus tard, on m’apprit qu’il s’agissait d’une autre créature, celle-ci se nommait épouvantard. Ils se cachaient dans des endroits sombres et prenaient plaisir à effrayer les gens. Mes collègues disaient qu’il s’agissait là que d’une bête nuisible, qu’il n’y avait pas vraiment de danger, mais je n’en étais aucunement rassurée.

J’aurais pu refuser d’accompagner les autres, lorsqu’ils me dirent qu’ils allaient régler son compte à cette bête, mais quelque chose me poussait à y aller… Une sorte de vengeance? Peut-être de la curiosité morbide… Je ne savais pas et je ne sais toujours pas.

Alors que nous nous approchions de la pièce où ils avaient laissé L’armoire, mon estomac se nouait, un nœud se formait dans ma gorge, m’empêchant de discuter avec mes collègues. Je serrai les poings, afin de ne pas trembler.

Une fois dans la pièce, ils ouvrirent le placard. La créature qui en sortie était dégoutante, un monstre couvert de bave visqueuse. Il s’approcha de Skinner, qui était le plus près, avec un grondement menaçant. L’homme ne bougeait pas, terrorisé. Par réflexe, je l’attrapai par le col de sa chemise pour le tirer en arrière, faisant cela, je me retrouvai à être le plus près de la créature.

Un silence se fit. J’entendis des gouttes qui tombaient sur le sol. Je savais ce qui se trouvait là sans même le voir. Je savais que je ne devais pas la regarder, mais je levai tout de même le regard vers cette chose immonde qui me regardait d’un œil bleu, un sourire dément sur les lèvres : C’était la Hère. Sa longue queue rouge fouettait l’air, impatiente d’attaquer. Elle avait pris mon apparence, mais couverte de sang. La créature s’amusait avec son cache-œil, quelque chose me disait qu’elle ne devait pas l’enlever, je ne voulais pas qu’elle le fasse, qu’elle se moque en me montrant le résultat de notre première rencontre…

Quelqu’un me poussa, m’éloignant du monstre. Tombant sur le sol, je pu voir tout de même les autres enfermé l’horrible créature dans son placard. Je restai un moment immobile, n’entendant pas ce que les autres me disaient. Me levant mécaniquement, je sortie de la pièce sans rien dire. Je ne pouvais leur parler, j’avais honte de ma faiblesse. Je me sentais ridicule, l’épouvantard n’était pas une créature très dangereuse, il ne faisait qu’imiter nos plus grandes peurs… Ça n’était pas réel…

Mais cet échec signifiait beaucoup : Je n’avais pas réussis à surmonter cela, tant d’années plus tard, c’était toujours la même chose… la même faiblesse…

Pourtant, je savais que tous avaient leurs points faibles, mais c’est difficile de les accepter, même toutes les bestioles que nous combattons à chaque jour ont les leurs… Mais quel peut bien être la faiblesse qu’une créature qui nous renvoi en plein visage nos peurs?

Nous ne le saurons jamais, car le lendemain, il fut décidé d’incendier l’armoire où ce miroir de nos craintes se cachait.

Voilà la 2e partie^^, dans lequel s'est inséré un autre défi... Lady Gaga...

J'ai décidé de la faire avec Yuko pour faire changement et pour pouvoir dire quelques conneries sur Anna^^



Sans que je comprenne ce qui se passait, je me retrouvai plongé dans le noir. Tâtonnant autour de moi, je compris que j’étais enfermé dans un placard à balais. Paniquant, j’essayai de trouver la sortie, avant que la pièce ne se referme sur moi. C’est avec difficulté que j’empêchai l’angoisse de me dominer complètement. Il fallait que je comprenne tout d’abord ce qui c’était passé…
L’explication devait être que l’agent Touchette c’était encore amusé à me jouer un tour… Cette femme se croyait vraiment tout permis! Cette imbécile ne comprenait pas qu’elle retomberait bientôt dans l’oubli? Cette sauvage ne devais pas comprendre ce que intérim signifiait…

Quelque chose remua juste à côté de moi, c’était bien trop gros pour être une souris… Je fus saisi d’horreur lorsque j’entendis quelques paroles de chansons. Paniquée, je réussis à ouvrir la porte et pour m’enfuir. Courant à toutes jambes, je me réfugiai à l’angle du couloir.

J’observai la créature étrange qui était elle aussi sortie de son trou sombre : Les cheveux jaunes, les lunettes de soleil démesurés, un habit indescriptible… C’était horrible… mais qu’est-ce que Lady Gaga faisait là? Pourquoi venait-elle me poursuivre ici? Je ne lui avais rien fait!

Des pas se rapprochèrent, c’était une jeune commando blonde. Le truc au milieu du couloir se métamorphosa en ballerine à l’horrible tutu rose. La femme fit immédiatement demi-tour. Il y eu aussi transformation en zombi et en hot-dog carnivore alors qu’il y avait rencontre avec d’autres gens…

Quelques instants plus tard, c’était Koenig et Brandford qui arrivaient en discutant de tout, mais surtout de stratégie militaire… La créature se métamorphosa en une forme encapuchonnée, semblable au dirigeant, sauf que sous la capuche se cachait Touchette, qui montra une plaque à l’homme. Ce dernier sembla entrer dans une fureur folle.

- Depuis quand j’ai une jumelle qui dirige la Légio?

C’était évidement la borgne, qui souriait narquoisement. L’homme ne sembla pas apprécier la remarque, ni la rousse d’ailleurs… Il lui demanda de se débarrasser de se foutu épouvantard… il l’avait assez vu…

Se croyant seule avec la créature, elle ricana :

- Ça c’était magnifique… Ils ont peur que je prenne sa place… Bon faut qu’on te trouve une bonne cachette, sinon nous sommes morts…

Elle fit entrer la bestiole dans une caisse et s’en alla la caché dans un autre coin… Me laissant me demander si je devais la dénoncer ou non… Koenig se moquerai sans doute de moi s’il venait à savoir que je m’étais fait enfermé si facilement…
Décidant donc de me taire, je pris le chemin de la bibliothèque…

[ d'autres défis? je suis une pauvre sans rp qui cherche comment occuper son temps]

excellent ^^

j'imagine trop anna avec la robe de moine ;p

par contre, tout aussi bon mais bien triste pour la partie sérieuse :s

Alors que je m'emmerdais, j'ai réussis à soutirer un défi de Lily: Banane. Mot qu'elle n'arrête pas de répèter depuis quoi? 2 mois? mais disont que c'était particulièrement intensif ce soir...



Je mangeais une banane, pourquoi ce fruit plutôt qu’un autre? Parce que Lily me l’avait donnée et que je n’avais pas envi d’aller me chercher autre chose à manger. Elle était d’ailleurs délicieuse, juste assez mure.

Terminant de dégusté le savoureux fruit jaune, je jetais la pelure à la poubelle et repris tranquillement le chemin de la bibliothèque… Jusqu’à ce qu’un bruit sourd me fasse sursauter. Me retournant je vis Un pauvre agent sur le sol, l’aidant à se relever, j’aperçus une peau de banane sur le sol, la ramassant, je la jetai aux ordures.

Reprenant ma route, j’entendis de nouveau quelqu’un qui se plantait. Me retournant, je découvris Koenig par terre, dans sa chute, sa robe de bure s’était retroussée, laissant voir un caleçon couvert de motifs de croix et de cœurs. Maintenant lorsque des curieux me demanderont ce qu’il y a sous la robe du chef, je pourrai leur répondre… Quoique j’aimerais bien oublier cette image qui restera longtemps gravée dans ma mémoire…

Je m’approchai pour l’aider à se relever, mais bien évidement, il s’arrangea seul. Il me montra une pelure de banane, avec un air particulièrement féroce.

- Mais… je l’ai jeté à la poubelle… deux fois même…

J’eus droit à un sermon plutôt humiliant, sans parler d’une corvée de ménage… Je venais de jeter la honte sur ma section… Je gardai tout de même la tête haute, après tout, il n’aurait plus que manqué qu’il me reproche mon regard fuyant…

Lorsqu’il fut repartit, je restais un moment là, à essayer de comprendre ce qui se passait avec cette peau de banane… Je n’étais pourtant pas folle! Elle ne pouvait pas sortir ainsi de la poubelle pour faire tomber les gens! Sauf s’il y avait un esprit qui hantait le siège de l’organisation…

Ce ne pouvait qu’être que cela! Je commençai donc à rechercher l’esprit malfaisant, tentant de l’expulser… mais cela ne donna aucuns résultats, pour la simple et bonne raison qu’il n’y avait finalement pas d’esprit… Ah j’oubliais, la seule conséquence fut de me faire de nouveau sermonner par Koenig, qui semblait de plus en plus de mauvaise humeur… Il faut dire qu’il avait faillit se retrouver de nouveau sur le plancher, pour la même raison que la première fois…

Je me précipitai à la bibliothèque, fouillant de nombreux ouvrages. J’y passai d’ailleurs plusieurs heures, jusqu’à ce que j’oublis la raison de mes recherches et que mon ventre grogne : Il était plus que temps que j’aille diner.

Marchant sans regarder le sol, puisqu’après tout, ce dernier est supposé être propre et non encombré, je glissai sur quelque chose pour me retrouver sur le dos à fixer le plafond. J’entendis alors un ricanement bien humain. Me relevant pour regarder autour de moi, j’aperçu la coupable au coin du mur, un peu plus loin : L’agent Touchette.

Comment une femme de son âge pouvait-elle s’amuser à des tours aussi débiles? Non mais! Elle n’avait pas cinq ans! J’étais bien décidé à lui dire deux mots à cette peste! Cependant elle prit la fuite, je fus donc contrainte de la poursuivre d’un bout à l’autre de la Légio Dei… Jusqu’à ce quelle glisse et tombe… N’ayant pas le temps de freiner, je lui tombai dessus. J’aperçu une pelure de banane sur le sol, puis levant les yeux, je vis Koenig, appuyé contre le mur, il souriait méchamment, nous toisant d’un air qui signifiait clairement : « Je suis le plus fort ».

Touchette obtint mes corvées… il y avait peut-être une justice finalement…

[ Toujours à la recherche de défis en passant...]

Bon, cette fois c'est: Le Joker engager par la legio...


Je ne savais pas pourquoi, mais Koenig m’avait convoqué dans son bureau. Pourquoi n’étais-je pas rassurée? Sans doutes parce que ne n’avais pas la moindre idée de ce qu’il me voulait…
Je frappai et entrai dans le bureau, où le chef était en discussion avec un homme étrange : les cheveux teint verts, le visage recouvert de blanc, sur ses lèvres un sourire rouge trop grand s’étirant sur des cicatrices et sur ses yeux du noir. Il portait un habit mauve avec une certaine élégance malgré son allure… tourmenté?

Koenig m’appris que je devais faire visiter le siège de la Legio Dei à cet homme, qu’il me présenta comme le Joker. Je devais aussi tenter de trouver la section qui lui conviendrait le mieux avec l’aide des chefs. Si je ne trouvai pas le fantôme dirigeant des agents de terrain, je le remplaçai. Je devais aussi aller voir Tamaki en premier. Je ne comprenais pas vraiment cette demande, mais je préférais ne pas poser de questions.

Une fois dans le couloir, je lui demandai comment il avait été recruté et ce qu’il savait de l’organisation.

- J’étais sur le point de relâcher quelques créatures dans la nature se situant à proximité de Gotham et y’a ce groupe qui m’a amené ici, me demandant de leur révéler ce que je savais sur les bestioles… Mon savoir les a captivés et le gars caché sous le drap m’a engagé…

- Heu… ok… Bon, nous allons rencontrer la chef des Observateurs, Yuko Tamaki.

Alors que nous étions sur le chemin de la bibliothèque, il commença à me parler de ses cicatrices :

- Après que mon père ai trop bu un soir, il est venu me trouver et là il m’a demandé pourquoi j’étais si sérieux… alors il a pris son canif et il m’a dessiné un sourire…

Je trouvais cette histoire plutôt étrange, mais je ne fis pas de commentaires. Il commença alors à me demander quels explosifs et armes nous utilisions, mais l’arrivé à destination m’évita de répondre. La nipponne avait encore le nez dans les livres, faire changement…

- Voici une recru potentielle pour votre équipe.

- Certainement pas avec cet accoutrement et ce maquillage…

- Oh, mais je suis parfaitement capable de me dissimuler, j’ai tiré sur le commissaire en m’habillant autrement…

Cette déclaration déclencha un certain malaise. Ce qui n’était rien comparé à celui qui résultat de la suite :

- Je vous trouve très peu souriantes mesdames… Vous savez ce qui me fait sourire? Une belle explosion… On devrait faire un feu d’artifice…

L’autre femme me prit à part, me disant qu’elle n’en voulait pas, mais je la convainquis de vérifier ses capacités. Je les laissai donc, partant m’occuper ailleurs.

Une heure plus tard, alors que je cherchais un balai pour nettoyer un dégât, je tombai face à face avec Tamaki qui était caché dans le placard…

- Il est impossible! Il veut tout faire sauter! En plus il est violent…

La seule autre chose que je réussis à lui soutirer, c’est qu’il était en salle d’entrainement et que qu’il avait fait un tour de magie douteux... Allant trouver l’homme, je le trouvais en pleine conversation avec Brandford, parlant bazooka et autres armes de destruction… Ce qui avait quelque chose d’inquiétant… Je les laissai tout de même à leur occupation, nous avions peut-être trouvé la bonne section pour lui.

Je regrettai cette décision lorsqu’une explosion secoua le bâtiment : Ils avaient décidé de comparer leur arme… Mais je compris rapidement que c’était bien pire… Le Joker se baladait maintenant seul dans les couloirs, tentant de recruter des gens pour renverser Koenig et mettant le feu lorsqu’il ne trouvait personne.

L’idée d’un autre chef me plaisait bien, mais pas ce fou, qui semblait maintenant monter les gens les uns contre les autres… Il fallait intervenir! M’approchant, je le sommais d’arrêter.

- Mais ce n’est pas moi qui est fait de vous une borgne, ce sont ses gens, qui ne sont pas intervenu à temps…

- Êtes vous en train de sous-entendre avoir un lien avec la hère?

- Il se peut, je fais des tas de choses… et je regarde ce que ça fait…

Ce presque aveux me mis en colère, m’approchant davantage je lui mis un bon coup de genou sous la ceinture et le trainai jusque dans le bureau de Koenig, commençant sitôt à lui faire un rapport sur les comportements du Joker… Ce qui me valu des reproches pour avoir perdu le contrôle de la situation et pour être venu m’en plaindre plutôt que d’avoir réglé cela par moi-même…

Parfois je me demandais vraiment ce que je faisais encore là…

Je viens de lire "Banane" au passage XD le moment qui m'a fait le plus rire ça doit être quand Yuko se retrouve au sol aussi avec Anna xD Domino!! xD
Et pour le joker, moi je lui aurait fait exploser la cervelle ^^

yay !
vive le jokeeeeeeeeeeeeeeer <3<3<3<3<3
faut vraiment qu'on le recrute ^_^

pas mal non plus la banane ^^

Merci pour vos commentaire^^
Et pour le titre
Voilà un autre défi : un mélange qui devait contenir l'anneau de lotr et la baguette de sureau de hp, je dois avouer que je me suis un peu laisser emporté, ce qui donne une histoire bien plus longue que les autres...



Cette histoire a débuté il y a bien longtemps, Sauron, le seigneur du Mordor se forgea un anneau unique, un anneau maléfique où il enferma toute se cruauté et sa puissance. Après la défaite du seigneur noir, l’anneau changea plusieurs fois de mains avant de tomber dans l’oubli.

Je ne connaissais pas encore ces détails lorsque je m’aventurai un jour dans une grotte sombre avec quelques coéquipiers pour chasser les gobelins s’y cachant. M’étant retrouvé séparée de mon groupe, je trouvai, par hasard, dans l’obscurité, un anneau. Je le mis dans ma poche et reparti à la recherche de mes coéquipiers.

Le reste de la mission se déroula sans problèmes, jusqu’à ce que nous tombions dans une embuscade, alors que je montrai l’anneau aux autres. Le bijou se glissa à mon doigt, comme s’il savait que sa place était là. Étrangement, les ennemis ne m’attaquaient pas, je les tuai, sans qu’ils se défendent… Je compris alors que l’anneau me rendait invisible.

Peu de gens furent mis au courant de ma découverte, que je voulais garder pour moi, afin de pouvoir faire quelques farces. J’étais loin de me douter dans quel pétrin je m’étais mise… Surement dans le même que Cette pauvre Yuko.

Un soir, alors que nous avions chacune pris un verre de trop, nous avons eu une conversation où je lui parlais de l’anneau. En échange, elle m’avoua qu’elle possédait une relique magique unique et potentiellement très dangereuse : La baguette de sureau. Elle l’avait arraché à un sorcier, un jour en mission.
Sans nous détester, nous n’avions jamais été proches, mais ses confidences nous avaient liés sans que nous le sachions.

Alors que cette soirée était presque oubliée, des évènements étranges sans liens apparents arrièrent. Des ponts qui se tordaient comme des serpents que l’on chatouillait, des hommes encapuchonnés circulaient à cheval dans les campagnes, répandant la peur. Une espèce de créature grisâtre commença à me suivre de loin, il était presque chauve et vêtu d’un pagne tombant en morceaux. Yuko m’avoua être suivit par des personnes vêtue de robes noires et de masque dorés.

C’est à ce moment que nous constatâmes qu’il était urgent de faire des recherches sur nos découvertes. C’est après ces recherches que je su ce qu’était l’anneau et qu’il valait mieux ne plus le porter, au risque d’attirer des créatures peu recommandables, attirées par son pouvoir.
Pour ce qui est de la baguette, nous trouvâmes un vieux conte pour enfant en expliquant la création. Puis après maintes recherche nous apprîmes qu’il s’agissait de la baguette magique la plus puissant n’ayant jamais existé... Et que les sorciers se l’arrachaient depuis des siècles à coups de duels mortels…

En résumé, nous avions en notre possession ce qui devait être les deux plus puissantes reliques magiques qui n’aient jamais existé et ceux qui les voulaient n’hésiteraient pas à tuer ceux leur barrant la route… Un portrait peu rassurant du pétrin dans lequel nous nous trouvions…

Il fallait que nous débarrasser de ces objets. Pour cela, nous allâmes demander conseil à Heinrich le sage. L’anneau ne pouvait être démoli que dans le feu de la montagne du Mordor, où il a été forgé.

- Mais où est le Mordor monsieur? Je n’en n’ai jamais entendu parler…

- C’est normal, il a été rebaptisé Islande et la forge de Sauron est en fait le volcan Eyjafjallajokull, aussi appelé Eyjafjöl, qui est entré en éruption il y a peu…

Ces informations nous laissèrent sans voix. Mais ce n’était rien comparativement à la suite : En tant que porteuse de l’anneau, je devais aller le jeter dans le feu qui mènerait ce seigneur des ténèbres à sa perte.

Pour ce qui était de la baguette, elle ne devait pas tomber entre les mains d’un certain Voldemort, qui voulait dominer le monde, tout simplement.

Il fut décidé de former une communauté de l’anneau afin de m’accompagner : Koenig, Brandford, Ricci, Van Halen, Claymore, Heaan, Sar et Yuko, qui de toute façon était en danger avec sa baguette…

Nous étions neuf, contre les neuf nazguls qui cherchaient désespérément l’objet que je détenais. Malheureusement, ce n’était pas les seuls dont nous devions nous méfier, d’autres créatures rôdaient cherchant le bijou ou la baguette de sureau.

Chargé de quelques effets, nous nous mirent en route, nous ne prîmes pas l’avion ou l’hélicoptère, ces moyens de transport étant trop facile à faire planter… Bon en y repensant, aucuns moyens de transport n’était vraiment sécuritaire, mais Koenig choisi un fourgon, passant par des routes cachées.

Nous changions de véhicules de temps à autre, jusqu’à ce que nous soyons repérés. Une créature semblable à un dragon noir, chevauché par un nazgul, nous attaqua. Sans savoir ce qu’elle faisait, Yuko réussit à le mettre en fuite en faisant une lumière intense avec sa baguette. Puis ce fut une séance de course à pied pour semer notre adversaire et les renforts qui arrivaient… De plus, nous avions peur que l’utilisation de la baguette ne rameute nos autres ennemis…

Nous traversâmes une forêt pour déboucher sur une large plage en galet, où nous étions attendus… Nous nous trouvions exactement entre les deux camps obscurs. D’un côté il y avait les nazguls, des gobelins des hommes, dont certains étaient montés sur ce qui ressemblait à des éléphants. De l’autre côté, il y avait des sorciers, dont la plupart se cachaient le visage, quelques géants, et bien d’autres bestioles…

Nous sortîmes nos armes, prêts à en découdre, pour sauver nos vie, pour sauvez le monde…
C’est à se moment que le chef hurla en pointant un nazgul :

- Il nous a volé la baguette!

- Et elle m’a dérobé l’anneau fit-je en pointant une femme sans masque aux longs cheveux noirs ébouriffés.

Ses déclarations eurent l’effet escompté : les méchants s’attaquèrent entre eux pour la majorité, nous laissant une petite chance de nous en sortir. Mais alors que nous tentions un repli stratégique vers la forêt tout en éliminant ceux qui nous attaquaient, d’ailleurs la chef des commandos étaient particulièrement efficace avec son bazooka, un sortilège me manqua de peu : C’était la femme que j’avais accusée. Je roulai pour évité un second sort et lui tirait dessus avec mon pistolet, brisant sa baguette magique par une grande chance. Mais cela ne fit qu’augmenter sa colère, que je voyais briller dans ses yeux fous.

Voyant qu’elle s’avançait vers moi, je pris la fuite, l’entendant crier toutes sortes d’insultes. Je me retrouvai soudain face à un nazgul, qui fut écrabouillé par un géant qui passait. Reprenant ma course, je semai la folle furieuse et retournai près de mes compagnons, qui appuyés contre les arbres, regardaient le carnage, tirant lorsque des ennemis s’approchaient trop.

Je les écoutais parier sur un mangemort qui se battait avec un gobelin. Ricci perdit une petite fortune, à la grande joie de Sar et Yuko, qui avaient réussis à détecter les points faibles des combattants.

Ils s’entretuèrent donc devant nos yeux, nous laissant le soin d’éliminer ceux voulant encore nous attraper… Une fois que ce fut finit, nous nous rendîmes dans le port le plus près, où nous empruntâmes un bateau pour nous rendre en Islande.

Le trajet se déroula bien, excepté pour une chose, j’avais l’impression que l’anneau me parlait. C’était une sorte de vibration qui s’emparait de moi, m’ordonnant de me le passer au doigt. Mais je devais résister, tout comme je devais résister à l’envi de le refiler à quelqu’un d’autre, bien que Heaan sembla fort intéressé…
Il y avait parfois une autre impression bizarre qui me prenait parfois, c’était comme si quelqu’un m’observait, une personne ne me voulant pas de bien…

Il fut facile de se diriger vers notre destination, grâce aux volutes de cendres s’élevant du volcan. Une fois sur l’île, nous commençâmes l’ascension de la falaise pour nous retrouver sur un glacier. Nous étions plusieurs à ce moment à avoir un sentiment d’être suivit, mais nous ne devions pas nous arrêter pour si peu!

Soudainement, la folle de plus tôt apparue devant moi.

- Ah non! Pas vous! Je croyais que vous étiez peut-être morte piétiné…

- Certainement pas! Tu n’as toujours pas compris à qui tu avais affaire! Je suis Bellatrix Lestrange, la plus fidèle au seigneur des ténèbres!

À ce moment, Yuko eu la très mauvaise idée de vouloir se servir de la baguette de sureau. La reconnaissant, la mangemort s’élança vers elle. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, les survivants de la bataille de plus tôt, autrement dit ceux qui s’étaient enfuit, se joignirent à notre charmante réunion…

La chef des commandos tira avec son jouet, ce qui provoqua la fissuration de la glace qui précipita La nippone et moi-même dans un gouffre.

Peut-être était-ce grâce à la chance, ou à la baguette, mais nous nous tirâmes de cette chute avec seulement quelques ecchymoses. Nous nous trouvions dans une caverne de glace. Il était évident que nous ne pouvions ressortir par ou nous étions entré, donc nous avançâmes dans le tunnel, qui se révéla rapidement être un labyrinthe. Où nous étions clairement suivies…

Lui tendant un piège, nous capturâmes la créature que j’avais déjà remarquée. De proche, il était encore plus laid que je ne le croyais, il se tortilla sur le sol, émettant un râle : «Gollum! Gollum!». Il faisait de la peine à voir…

Nous le convainquîmes de nous guider au travers du glacier, mais plus nous approchions du volcan, plus son comportement devenait étrange… Il avait des conversations seul, semblant manigancer un truc louche…

Ce fameux truc louche s’avéra être une rencontre avec une araignée monstrueuse, qui voulait faire de nous son repas… Ma collègue la découpa tout simplement avec les fils sortant de ses gants et promit à Gollum de lui réserver le même sort s’il nous refaisait un coup du genre…

Il nous mena donc docilement jusqu’au cratère, où je fus prise d’une certaine hésitation… Pourquoi ne pas utiliser la puissance de l’anneau pour faire le bien?

- Anna… tu dois le détruire. Tant qu’il existera, le monde sera en danger…

- Il en est de même pour la baguette…

Alors que nous convenions de laisser tomber les deux reliques dans la lave, Gollum se jeta sur moi en essayant d’attraper l’anneau. Il m’arracha ma veste et tomba dans la lave, la chef des observateur me rattrapa, m’empêchant de le suivre dans le feu.

- Voilà qui est réglé pour l’anneau…La baguette maintenant?

Elle la lança et nous décampâmes, essayant de fuir l’explosion. Trouvant un passage, nous sortîmes des galeries glacées et après un bon moment de course, nous retrouvâmes nos compagnons, qui en avaient fini avec les ennemis.

Maintenant que nous avions détruit les deux objets, le bien pourrait tracer son chemin dans notre monde.

Ca me rapelle qu'après l'éruption du heijajajachose là, le groupe facebook "Éruption en Islande, Frodon a ENFIN détruit l'anneau" a été créé... XD

Mais super OS, serieux.

Really? omg... je savais même pas... d'ailleurs, à ce que j'en sais, y'a plusieurs groupes aux noms étranges...

Bon voila un autre défi... Question de vraiment mériter mon titre... XD
rencontre avec le Père Noël.


Par un jour d’hiver, alors que j’étais encore occupée à la bibliothèque, des festivités inattendues attirèrent mon attention. Bon, en fait j’aurais du m’y attendre, puisque nous étions le 24 décembre… Il semblait donc que certains avaient décidé d’organiser un petit réveillon.

Pourquoi ne pas les rejoindre? Sortant de mon antre, je croisais les agents Touchettes et Ricci qui semblaient suivre une piste. Je leur demandais donc ce qu’ils faisaient, alors que tous fêtaient.

- Nous pensons qu’il y a eu une intrusion…

La borgne semblait préoccupée, et il y avait de quoi : Quelqu’un qui se balade librement dans les couloirs alors qu’ont ne l’y a pas invité, pendant que les gens sont occupés à faire la fête, c’était rarement bon…

Je cherchais avec eux l’intrus. Nous finîmes par le trouver au tournant d’un couloir : Il était grassouillet, vêtu de rouge et portant un bonnet de cette même couleur avec un pompon blanc. J’avais l’impression de le connaitre… pourtant j’étais certaine de ne jamais l’avoir rencontré.

- Hé vous! Que faites-vous ici?

Ricci paraissait prêt à attaquer le pauvre vieillard, alors que la brune réfléchissait. L’inconnu nous regarda, nous parlant d’une voix chaleureuse :

- Je suis désolé, mais un de mes rennes a décidé de me jouer un tour et s’est caché dans un coin pendant que je faisais une livraison…

Le pauvre semblait un peu perdu et peut-être sénile aussi… Un renne?! Je devais sans doute avoir mal compris… mais lorsqu’il nous le décrit nous comprîmes qu’il s’agissait bien d’un animal…

- Nous allons le retrouver! N’est-ce pas Aless?

- Ouais… d’accord…

C’est donc ainsi que commença la recherche de la bête perdue. Le duo d’agent semblait étrangement habitué à ce genre de traque… Mais ce n’était peut-être qu’une impression. Pendant qu’ils se concentraient sur cette tache, je discutais un peu avec l’homme en rouge :
- Vous parliez d’une livraison… pourtant c’est la première fois que je vous vois…

- Normalement je suis plus discret.

Mes collègues finirent par retrouver la bête dans une des salles d’entrainements. Bon ce n’était pas vraiment un exploit, puisque l’animal faisait un de ses boucans…

Puis nous raccompagnâmes l’homme à l’extérieur avec son renne, où d’autres l’attendaient. Il replaça la bête à sa place dans l’attelage reliée à un grand traineau rouge. Après nous avoir remerciés, il repartit. Nous restâmes un moment à l’observer s’éloigner, comme hypnotisé par ce spectacle peu commun.
Retrouvant mes esprits je réalisais une chose étrange :

- Il ne vient pas ne nous remercier en utilisant nos prénoms alors qu’il n’avait qu’entendu le surnom de monsieur Ricci?

Bien que cela était très étrange, et demandait une recherche poussée, nous décidâmes de nous rendre à la petite fête.

Beaucoup plus tard, lorsque je retournai à ma chambre, je trouvai un petit paquet-cadeau rouge avec mon nom inscrit. L’ouvrant, je découvris une amulette contre les mauvais esprits. Puis une réflexion étrange me passa par la tête, peut-être due au manque de sommeil, à l’alcool ou encore à l’émotion : Était-ce le Père Noël?

C’était ridicule, une idée complètement enfantine pour mon âge… Je me couchai donc après ma prière, le sourire aux lèvres.

J'adore xD Tu l'as fait le coup de Bellatrix xDDD Trop fort XDD

Anna et Ricci qui chasse le rênne pour pas changer^^ j'adore vraiment^^ vive le Papa Noël =D

vive la chasse au rêne !!!
on est bon à ce sport ^^

j'ai adoré les deux
quelle belle communauté on est ;p

Merci pour vos commentaire^^

Alors voila Malf, mon défi sur le Mcdo, j'ai hate de lire le tien...


Pourquoi me trouvais-je là? Dans un buisson, à observer les allées et venues? À cause de ce stupide pari entre les chefs Tamaki et Brandford… Décidément être intérim me rabaissait à faire toutes sortes de tâches ingrates. Je rampai encore un peu, question de mieux voir ce qui se passait, tout en maudissant les deux femmes et surtout Koenig…

Tout avait commencé pendant une réunion où j’avais du remplacé le chef des agents de terrains qui avait encore disparu. La chef des commandos avait alors commencé à parler d’un complot chez MacDonald, ce à quoi la nipponne ne croyait vraiment pas. Malgré sa gêne, elle avait réussi à déclarer qu’elle n’avait pas de temps à faire perdre aux observateurs pour cela. La tension avait monté à un tel point que le maitre des lieux avait du intervenir.

Usant de sa logique implacable, il expliqua qu’il fallait quelqu’un de neutre pour aller vérifier, quelqu’un qui avait beaucoup de temps libre. J’avais senti son regard sur moi alors que je regardais consciencieusement le plafond, qui était plutôt magnifiquement ouvragé…

- Touchette! Arrêtez ses enfantillages!

- Pourquoi c’est moi qui doit y aller?

- Parce que Brandford risque de tout faire sauter pour absolument prouver qu’elle a raison et que Tamaki ne poussera pas assez l’enquête, certaine qu’il n’y a rien à chercher…

Donc voilà comment je m’étais retrouvé dans cette posture inconfortable, à surveiller une quelconque activité anormale. Mais comment trouver cela alors qu’on ne savait pas ce qu’on cherchait exactement? Je commençai à comprendre ce que les observateurs faisaient… D’ailleurs, si Koenig ne me l’aurait pas interdit, j’aurais pu en envoyer un… mais non! Je devais faire cette sale besogne par moi-même!

Je n’attendais qu’une ouverture entre les multiples départs de livraisons. Ce que je finis par avoir au bout de plusieurs heures. Un employé resta une des porte de l’entrepôt ouverte. En m’assurant de ne pas être vue, j’y couru et m’y faufilai. Aussitôt à l’intérieur, je me cachai derrière une étagère.

Je regardai discrètement les déplacements des gens, qui préparaient le prochain envoi. Ce n’était pas trop cette partie de la chaine qui m’intéressait, donc je poursuivi mon exploration. Un bruit derrière moi me fis me retourné, accrochant quelque chose sur l’étagère et tomba sur le sol avec un de ces vacarmes peu discrets.

- Intrus! Code rouge!

Je pris la fuite, tombant face à un homme je bifurquai. J’en évitais un autre, qui le lança un BigMac derrière la tête. Je continuai tout de même ma course, malgré la situation qui semblait dégénérer. Ils versèrent du cola par terre, me faisant déraper et percuter une étagère.

Je réussis à reprendre ma course, me retrouvant par mégarde dans le centre de production. Ce que j’y vis m’enleva tous les mots de la bouche. Soudain une douleur dans mon bras me fit me retourner, il y avait une seringue et la main qui la tenait était reliée à nul autre que Ronald lui-même. Comment un personnage si peu discret avait-il réussi à s’approcher ainsi? Ses cheveux rouges n’allaient vraiment pas avec sa salopette jaune…

Alors qu’une sorte d’engourdissement me prenait, tout en m’écroulant par terre, j’entendis le clown déclarer :

- Une organisation presque aussi puissante que la notre sait qu’elle est ici. Sortez la, elle ne se rappellera plus ce qu’elle a vu…

Puis ce fut le noir complet. Je me réveillai sur un banc de parc en sachant que j’avais vu quelque chose d’important là-bas, mais ma mémoire refusait de s’en souvenir. C’est donc avec un mal de tête affreux que je retournai au siège de la Legio Dei.

Quelque chose au fond de moi me disait qu’il valait peut-être mieux que certains secrets restent secrets et qu’on ne tente plus de les percer à jour…

J'en étais certaine!! C'est un complot XD Pas pour rien que j'ai donné presque le même titre et pourtant c'est pas fait exprès xD

énorme ^^
mais qu'est Ronald? Un démon? Oo
mes frèèèères (et soeurs) l'apocalypse est sur nouuuuuuuuuuuuuus

Merci encore une fois pour vos commentaires^^

Bon, voilà un autre défi provenant de Malf: Anna et Yuko qui échangent de corps.
J'ai choisi de le faire en 2 parties, soit la vision de chacune.



Parfois, il y a certains trucs que l’ont croit innocents, sans grande importance, comme ces petites disputes que j’avais avec Tamaki à tout les jours. Mais il semblait que quelqu’un n’était pas de cet avis.
La veille, nous étions sorti dans un restaurant chinois, afin d’espionner une sorcière. Selon les informations que nous avions, elle n’était pas très dangereuse, mais nous devions tout de même effectuer un petit contrôle.

- J’en ai assez de perdre mon temps ici… Pourquoi dois-je vous accompagner? Vous ne pouviez pas demander à quelqu’un d’autre?

- Monsieur Koenig m’a dit de vous prendre, car vous aviez beaucoup de temps libre.

- On prend trois jours de congé et on vous le reproche pour le reste de votre vie… J’y peux rien si moi je n’ai pas oublié mes origines, ma famille et que lorsqu’il y a quelque chose qui ne tourne pas rond, je le dénonce…
- Justement, peut-être vous feriez mieux de vous tenir tranquille et faire profile bas. Et parfois, il vaut mieux prendre ses distances avec sa famille.

Sans nous en rende compte, nous avions une fois de plus monté le ton. La mère de la propriétaire nous offrit des biscuits, ceux avec un petit mot à l’intérieur. Je ne l’ouvris qu’après être sortie dans le stationnement, où il y eu un tremblement après que j’eu lu le message.

La nipponne me rejoignis, puis nous retournâmes au siège de la Légio Dei en discutant de la secousse.

Je me rendis à ma chambre et me couchai après avoir enfilés ma chemise de nuit et enlevé mon cacha œil, je ne disposais à sa place, sur la table de chevet.

Le cadran me réveilla en sursaut le matin suivant, pourtant, j’étais certaine de ne pas l’avoir programmé… encore moins pour 6 heures du matin! Ouvrant les yeux, je compris que quelque chose clochait. Je n’étais plus dans ma chambre, mais ce n’était pas cela que je remarquais, mais plutôt que mon champs de vision était plus large. Plaquant une main sur l’œil droit, je compris que je voyais! Mais c’était impossible! Je devais rêver…

Me levant, j’observai ce qui m’entourait, j’avais l’impression de connaitre certain des objets. Je me décidai après une longue hésitation à regarder dans un miroir : J’avais deux yeux… le problème c’est que ne n’était pas les miens, comme le reste du corps…
Ça devait être un mauvais tour, une vengeance quelconque… Pourtant je vis bien en examinant le corps, qui était plus petit, sans cicatrices, que ça ne pouvait être qu’une simple blague : J’étais dans le corps de la chef des observateurs.

Enfilant rapidement les vêtements de Tamaki, je m’élançais en direction de ma chambre, y entrant sans frapper. J’attrapai la forme endormie sur mon lit et la secouai.
Ce fut la scène la plus étrange de ma vie, je me regardais avec interrogation… Quelle tête horrible je pouvais avoir le matin…

- Vos petites blagues ne m’amusent pas du tout, agent Touchette. Sérieusement, vous déguiser en moi… c’est maintenant prouvé que vous avez beaucoup de temps à perdre…

- Je suis flatté que vous croyiez autant en mes talents de déguisement, mais je ne crois pas que j’aurai réussi deux métamorphoses aussi parfaites…

Je lui tendis un miroir et la (ou me?) regardais pâlir devant l’évidence. Bon, il faut dire que l’orbite vite ne l’aidait surement pas à se sentir mieux… Ce devait être la première personne après les médecins et moi-même, à voir sous ce bandeau. Cette vision était difficilement supportable, alors j’attrapai l’objet sur la table de chevet et lui mis.
Je m’assis sur mon lit, me prenant la tête à deux mains :

- Je ne comprends pas… Il faut qu’on retrouve notre corps… Et si on reste ainsi?

- Il faut tout d’abord trouver la cause de cet évènement. Quelque chose qui devait sortir de l’ordinaire à du se produire cette nuit, ou hier…

C’était logique, mais quelle était la réponse? Puis j’eus une petite illumination :

- Les biscuits!

Il fallait que nous retournions au restaurant. Mais Nous avions des responsabilités. Et nous n’avions pas le choix de faire les travaux de l’autre, que diraient les observateurs si s’était l’agent Touchette qui débarquait pour leur donner leurs ordres? La plupart ne devaient même pas me connaitre… On encore si Tamaki allait à la conférence pour les agents de terrains?

Nous fîmes la liste des choses que nous avions à faire dans la journée, nous donnâmes quelques conseils et précisions et nous partîmes chacune de notre côté, nous donnant rendez-vous à midi pour faire une visite au restaurant.

Il fallait que je fasse des recherches sur un certain rituel… Prenant un premier livre, j’y cherchais l’information, mais rien, je continuais avec d’autres livres, jusqu’à ce que j’en perde le fil et m’endorme.

- Miss Tamaki?

- Elle est surement à la bibliothèque… Elle vit pratiquement là… comme un rat…

- Miss Tamaki? Est-ce que ça va?

Je rappelai dans quel endroit et corps je me trouvais… Il m’expliqua que j’aurai du me trouver en réunion dans mon bureau depuis 15 bonnes minutes. Je m’empressai d’aller à cette fameuse réunion. C’était avec un jeune homme semblant nerveux.

- J’ai cru que vous ne vouliez plus me voir…

- Bien sur que non… mais juste pour être certaine que vous vous en rappelez… Pourquoi cette consultation?
- Je ne vous l’ai pas encore dit… J’aimerai prendre une semaine de congé…

J’acceptais et il repartit tout content… ce n’était pas trop dure de jouer la chef des observateurs… Cette impression fut vite contredite, il fallait que j’attribue des missions avec le type qui communiquerait ensuite avec les concernés.

- Celui là peut bien aller surveiller ces vampires?

- Mais non miss Tamaki! Il ne connait pas cette région.

- Celui là alors?

- Il n’a peut-être pas l’expérience requise…

- Tu as sans doute raison, alors qui devrait y aller? Fait la liste de ce que tu crois être le mieux et j’y jetterais un œil plus tard…

Alors que je croyais avoir un peu de paix, je du lire des dossiers sur des recrus voulant faire parti des observateurs. Un vrai dilemme… Puis se fut Koenig qui me tomba dessus pour une histoire de rapport non-fait et d’autre choses…

- Vous pouvez pas me laisser? Ça arrive à tout le monde des mauvaises journées!

Je le plantai là pour aller rejoindre Tamaki, il était enfin midi! Mais où elle était passée celle-la?

J'espère que c'est intéressant... et pas trop mêlant...


Me faisant secouer, j’ouvris les yeux, pour voir cette femme qui m’était exactement identique. Je devais rêver… Réfléchissant une conclusion sortie de mon esprit embrumé par le sommeil :

- Vos petites blagues ne m’amusent pas du tout, agent Touchette. Sérieusement, vous déguiser en moi… c’est maintenant prouvé que vous avez beaucoup de temps à perdre…

- Je suis flatté que vous croyiez autant en mes talents de déguisement, mais je ne crois pas que j’aurai réussi deux métamorphoses aussi parfaites…

Mon sosie me tendit un miroir. Elle avait raison, elle n’aurait pas pu faire cela en une nuit… surtout cet orbite, c’était donc cela qui se cachait derrière ce fameux cache œil.
Je ne pouvais croire que nous avions changé de corps, cela défiait toute logique…

L’autre attrapa le bandeau et me l’installa avant de s’asseoir à mes côtés. Elle semblait désemparée par cette situation échappant à tout contrôle…

- Je ne comprends pas… Il faut qu’on retrouve notre corps… Et si on reste ainsi?

L’éventualité de rester dans un corps n’étant pas le mien ne m’enchantait pas plus. Surtout dans un corps handicapé, car c’est ce que représentait l’œil en moins… Je tentais de me concentré sur comment régler cette situation :

- Il faut tout d’abord trouver la cause de cet évènement. Quelque chose qui devait sortir de l’ordinaire à du se produire cette nuit, ou hier…

Après un instant de réflexion, l’autre s’exclama :

- Les biscuits!

Cette perspicacité m’étonna d’elle, il fallait croire qu’elle savait réfléchir…
Il fut rapidement décidé d’échanger nos emplois du temps, afin que tout semble le plus normal aux autres. Je me changeai, pendant qu’elle se faisait une queue de cheval, puis elle s’en alla à la bibliothèque.
Je restais un moment seule, à essayer de m’habituer à ma nouvelle vision. C’était déstabilisant de ne plus percevoir la profondeur… Je fini par partir pour la conférence des agents de terrain.

Je me rendis donc dans la salle où avait lieu la réunion des agents de terrain. Une fois assise, je compris en écoutant les murmures, que leur chef n’était pas là et que ce n’était pas sa première absence. Peut-être que Touchette avait vraiment raison de se plaindre finalement…
Un homme vint me parler :

- Hey Anna! Tu veux t’occuper de la réunion, comme la dernière foi?

- Non, vous feriez mieux de vous en charger.

- Heu… Ça va toi? Tu nous ferais pas un peu de fièvre?

- Je suis seulement un peu épuisée…

Il n’insista pas et s’avança pour prendre la parole après avoir demandé le silence :

- Je vous rappelle qu’à notre dernière rencontre, nous avions discutés des problèmes d’entrainements des recrues. Annabelle avait alors proposé un meilleur programme d’entrainement. Je crois que nous nous rappelons tous qu’elle voulait aussi faire des périodes d’exercices avec les autres sections afin de partager différentes techniques. D’ailleurs, tu as discuté avec les chefs?

Pourquoi n’avais-je pas eu vent de se projet? Je me ressaisi et tentai de lui répondre d’un ton désinvolte, comme la borgne aurait pu le faire.

- Non pas encore, j’attendais le bon moment… Mais je sens que Tamaki sera ouverte à ce projet…

Heureusement, cela le satisfait et la réunion se poursuivie. Et une fois terminée, j’eu de la difficulté à sortir, chacun voulant me parler. Je réussis à me sauver, mais en me cognant le coude droit au cadre de porte en sortant. Je m’en voulu de se mauvais calcul et continuai mon chemin pour retrouvé Touchette, qui semblait impatiente.

Une fois au restaurant, J’eu droit à un spectacle étrange : Moi, attrapant la vieille femme aux biscuits par le col et la menaçant :

- Tu vas nous remettre dans nos corps, sorcière.

La dame lui répondit que nous devions régler cela par nous-mêmes, ce qui énerva la québécoise. Qui se montra beaucoup plus persuasive… Finalement la vieille dame nous arrangea cela et nous pûmes repartir… Après tout, nous avions à discuter de beaucoup de choses…

les pauvres ^^
ben dis donc, tu le mérite ton titre de reine des défis ^^

congrats

Un petit défi de la part d'Edym

Organiser une fête

Je n’arrivai pas à le croire, tout simplement. Comment était-ce possible? Cette réunion était insensée! Contrairement à la croyance populaire, j’avais réellement mieux à faire… Juste penser à cela était une pure perte de temps…

- Touchette!

Je sursautai pour revenir à la conversation aussi longue qu’inintéressante des deux chefs de section :

- Hein? Vous disiez?

- Je disais que rouge sang serait une belle couleur pour les décorations. Alors que Tamaki parlait de vert…

Brandford ne semblait pas très contente de mon absence… Mais ce n’était pas de ma faute si j’en avais rien à foutre des ballons, nappes, guirlandes, centres de tables et autres trucs complètement inutiles… D’ailleurs je ne comprenais pas pourquoi elles en faisaient tout une affaire… peut-être avaient-elles peur de perdre leur poste si l’organisation n’était pas bien faite?

- Super idée…

- Montre un peu plus d’enthousiasme. Pour qui? Le rouge?

- Ouais, rouge, peut importe… Mais pourquoi on fait ça?

- Parce que Henrich nous a demandé d’organiser une fête.

- Mais pourquoi?

Un bazooka sous le nez m’obligea à obtempérer… Donc j’approuvai le rouge avec entrain. Alors que la conversation dérivait sur les centres de tables, j’intervins :

- Si on fait les faits plus petits, nous aurons plus de budget pour l’alcool. Car c’est super d’avoir de la déco, mais les gens se préoccupent d’avantage de ce qu’il y aura à boire. Et après tout, cette petite fête est pour se détendre…

Je cru que j’aurai une autre rencontre avec le joujou de la rousse, mais elle sembla d’accord et Tamaki ne semblait pas vouloir nous contredire… Peut-être allions nous y arriver?
Il fut ensuite question des places pour le diner. Les deux autres pensaient que le dirigeant et ses trois chefs devaient s’assirent ensemble et comme j’étais intérim, j’y serais aussi…

- Hors de question! Je veux être avec les autres agents!

- T’en fait pas, ça nous plait pas non plus que tu sois avec nous…

- Je dois avouer que j’aimerais peut-être m’assoir avec les observateurs… Nous devrions laisser le choix aux gens de l’endroit où ils veulent s’installer, après tout, c’est pour avoir du plaisir…

Cet autre point de réglé, nous devions passer à l’étape suivante : les achats. Je fus chargé de l’alcool, ce qui me convenait le plus, pendant que les deux autres s’occupaient des décorations.

Plus tard, nous dûmes nous réunir pour tout mettre en place. La nipponne installait la chaine stéréo, la jeune disposait les nappes et ce qui allait dessus, alors que je me retrouvai juché sur un banc pour installer une guirlande.
Un test de son peu concluant me fit sursauter et m’étaler sur le sol après une chute pas très classe. Je n’étais pas la seule victime, puisque Brandford avait visiblement cassé des assiettes et engueulait soigneusement Tamaki. Elles échangèrent de place pour clore cette dispute.
Par contre un nouveau test de son peu concluant nous fit de nouveau sursauter… Ce fut mon tour de faire une crise et je me retrouvai à arranger ce foutu machin…

Heureusement, il n’y eu pas d’autres accidents, malgré la légère tension dans l’air. Une fois le soir venu, nous pûmes enfin nous détendre avec les autres, manger, boire et danser jusqu’aux petites heures du matin et voir plusieurs de nos collègues se ridiculiser…