Les défis de Anna

Bon, il ne me reste que 23 défis sur la liste d'Edym... XD

Un nouvel ami

Encore une fois, je ne comprenais pas la raison de ma convocation dans le bureau de Koenig. Mon incompréhension augmenta lorsque je vis cet espèce de gros oiseau jaune de la taille d’une autruche que le chef tenait en laisse devant sa porte.

- Vous voilà enfin! Vous avez pris votre temps… Surveillez cette bête en attendant que le cuisinier puisse l’apprêter pour le repas de ce soir.

- Qu… quoi?! Mais monsieur… J’ai du travail! Des dossiers importants à clore…

- Il n’y a rien de plus important que mon repas. Alors surveillez-le bien.

Il partit, abandonnant la laisse dans mes mains. Je me tournai vers l’oiseau qui me regardait de ses grands yeux bleus. C’était là une autre preuve du sadisme du dirigeant de la Légio… Manger une créature si adorable. Je me ressaisis, car je savais que c’était là la loi de la nature.

Ne sachant pas trop quoi faire, ni ce qu’était exactement cette bestiole. Je me rendis à la bibliothèque pour faire quelques recherches à son sujet. Alors que je découvrais qu’il s’agissait d’un Chocobo, je du lui enlever un livre du bec :

- Hé! Ne mange pas ça! C’est pas bon pour toi…

Je vérifiai cette information, et en effet, le papier ne faisait pas partit de son alimentation… Je le sortis de la pièce du savoir, cherchant toujours quoi faire avec.
L’oiseau se frotta la tête sur ma main. Je le flattai un moment. Puis soudainement, il attrapa sa laisse et s’enfuit. La surprise passée, je commençai à le poursuivre dans les couloirs. Mais cette bête courait très vite et je la perdis de vu. J’eus un moment de panique : Si je ne retrouvai cette volaille le chef me tuerait…

Des bruits attirèrent mon attention. Une fois sur les lieux, je pu voir que Touchette se trouvait sur le dos du chocobo, s’agrippant comme elle le pouvait. D’un mouvement brusque, l’oiseau s’en débarrassant, l’envoyant percuter un autre agent de terrain qui l’encourageait.

La borgne se releva en maugréant :

- Je vais perdre mon statu de chasseuse, même pas capable d’attraper un gros oiseau jaune dans le couloir… D’ailleurs faudrait savoir se qu’il fait là…

Sans rien dire, je m’approchai et pris la laisse pour amener le volatile, qui me suivie docilement.

- Brave bête, fis-je en lui gratouillant la tête. Ne me refait plus ça…

Il me répondit dans un petit cri assez mignon. Et une idée étrange me traversa l’esprit : J’étais en train de me laisser attendrir par le repas de Koenig… Ce repas qui me regardait avec des yeux suppliants… comme s’il savait ce qui l’attendait… Mais quelle pensée stupide! Il ne pouvait pas comprendre!

Je décidai de l’amener faire un peu d’exercice dans la salle d’entrainement. Heureusement il n’y avait personne et je laissai la bête se promener. Après un moment, il revint à mes côté. Il me suivit lorsque je commençai à faire le tour de la pièce.

- Ne fais pas ça… sinon je ne pourrai pas te rendre à Koenig avec bonne conscience…

En fait il était déjà trop tard, je m’étais attachée.

- Si vous voulez, je cous aide à le relâcher dans la nature, on m’a parlé d’une réserve où il pourrait être heureux…

Je sursautais pour regarder mon interlocutrice : Touchette.

- Pourquoi feriez-vous cela?

- Pour emmerder le boss… vous n’aurez qu’à dire que je vous l’ai volé.

- Mais vous risquez d’être punie…

- Bah, ça en vaut vraiment la peine… vous savez, mon rêve est que Koenig parte parce que je l’ai trop embêté…

- Ça n’arrivera jamais…

- C’est pour cela que ce n’est qu’un rêve… mais on peut toujours rêver

Décidément, cette Québécoise était vraiment bizarre… J’acceptai son aide et nous sauvâmes le chocobo. Nous eûmes toutes deux droits à un sermon et des corvées supplémentaires, elle pour le vol et moi pour ne pas l’avoir empêchée… malgré tout, ça en valait la peine…

J'adore!^^ Trop mignon :3 J'aurais bien voulu voir Anna sur le dos d'un chocobo xDD

J'aime aussi imager Anna sur un chocobo^^

Bon ce défi est une petite vengeance qu'on m'a demandé... XD


- Je ne comprends pas… c’est quoi ce désordre?

- Je vous l’ai dit : On doit organiser un mariage. Mais il faut faire attention le marié ne le sait pas…

- Quoi?! Mais comment est-ce possible?

Brandford recommença ces explications depuis le début. Je compris enfin qu’une jeune femme avait fait quelque chose à Koenig et qu’en échange, elle lui avait demandé de lui trouver un mari. Ce qu’elle avait fait devait être énorme pour qu’il fasse cela… Où était-ce lui qui lui avait fait quelque chose?
Mais bon, le chef avait alors choisi un homme, peut-être par hasard ou pour le punir et avait ordonné qu’on organise la cérémonie pour ces deux personnes dont les noms ne me disait rien… Ce que nous faisions depuis cinq minutes…

Nous dressâmes rapidement la liste des invités : Toute la Légio Dei. Ensuite j’envoyai quelques uns de mes observateurs les plus discrets décorer la salle et placer les chaises.

Il sembla que c’était moi qui devais aller aider la mariée et la demoiselle d’honneur avec leur robe. Quelle ne fut pas ma surprise de voir qui tenait ce deuxième rôle : nulle autre que l’agente Touchette. Non mais, elle était partout celle-là! Mais bon, il semblait qu’elle connaissait la future épouse.
Cette dernière portait une magnifique robe blanche, légèrement bouffante avec quelques rubans. Le voile était disposé sur ses cheveux relevés. Il n’y avait que quelques ajustements à faire, ce qui ne prit que peu de temps.

Lorsque je voulu faire de même pour la robe de la borgne, elle ne l’avait toujours pas mise, pour une raison qui m’était inconnue… La seule réponse que nous réussîmes à avoir c’est :

- Je ne mettrai pas de robe… Combien de fois faudra-t-il que je le répète?

- Vous avez accepté, alors mettez cette robe immédiatement! Je dois faire les ajustements si besoin est.

- Au moins ce n’est pas du rose…

C’est à contre cœur qu’elle alla se changer pour revenir avec une robe verte aux longues manches. Elle avait gardé son foulard noir, que nous ne pûmes lui faire enlever. Décidément cette demoiselle d’honneur avait vraiment un sale caractère…
Mais elle fut tout de même utile à quelque chose, grâce à elle, je sus finalement ce qui avait poussé Koenig à accorder un mari à la femme. Cette dernière aurait rendu un grand service à l’organisation en éliminant quelques nuisibles prêts à rendre publiques quelques informations compromettantes.

C’était donc une part du mystère de résolut… Un autre fait m’intriguait cependant… Comment le mari réagirait-il? Je ne me sentais vraiment pas à l’aise avec cette histoire…

Le grand patron conduisit la jeune femme jusqu’à l’hôtel, où le futur marié se débattait pour s’enfuir… Il aurait sans doute réussit, si ça n’avait pas été de la chaine qu’il avait au pied… Je du me retenir pour ne pas aller le libéré ou tout simplement ne pas m’enfuir de cette cérémonie.

Une fois devant le prêtre, ce dernier commença la cérémonie :

- Malf Claymore, acceptez vous de prendre l’homme si présent comme époux, de l’aimer dans la santé comme la maladie, dans la richesse comme dans la pauvreté (et blablabla) …

La grande femme blonde accepta avec enthousiasme. Le célébrant continua donc :

- Et vous Alessandro Ricci…

lol
quand c'est pas gaby c'est sandro ^^
décidément malfy est la femme à marier sur ce forum ;p

ps: qui a demandé la vengeance? je veux leurs noms/matricules/adresses/tel... ;p

Héhé... je ne révèle pas qui a demandé cela... t'a intéroger les gens XD

Bon un autre défi... et je me mets immédiatement au suivant
Ce que je peux aimé écrire des malenttendus! XD


Il y a toujours quelque chose qu’on ne croit pas vivre, certaine n’arrivent jamais, alors que d’autres, auquel on ne pense pas se produisent. C’est souvent ces fameuses choses qui marquent le plus, car elles surgissent, comme ça, alors qu’on ne s’y attend pas.

C’est justement ce qui c’est passé il y a quelques jours. Je vaquai tranquillement à mes recherches, quand un homme vint me prévenir que Koenig voulait me voir à son bureau immédiatement.
Ce qui n’était vraiment pas un bon présage, car pour être convoquée de la sorte, il fallait vraiment qu’il y ait un gros problème.

J’entrai donc dans le bureau du patron en m’asseyant lorsqu’il m’en fit le signe. J’attendis qu’il daigne m’adresser la parole. Le lourd silence qui régnait me rendais mal à l’aise. Attendait-il une confession qui éclaterait seulement avec son regard menaçant? Mais je n’avais rien à me reprocher, enfin, rien que je sache…

Je dois avouer qu’en temps normal, je suis toujours nerveuse en sa présence, il y a ce malaise qui me suit, mais là c’était insoutenable. Pourquoi ne disait-il rien? Normalement il était pressé de passer à autre chose, mais là, il semblait bien prendre son temps. Mais il finit par parler :

- Tamaki, j’aimerai que cette conversation quelque peu… personnel que nous allons avoir reste entre nous. Me suis-je bien fait comprendre?

Que pouvais-je faire d’autre que d’accepter? C’était bien trop risqué de lui dire non… Satisfait, il reprit d’une voix basse, comme s’il craignait que quelqu’un nous espionne :

- Vous savez, j’ai maintenant un certain âge… et parfois une présence féminine me manque, alors je me disais que comme vous êtes une femme…

Mais qu’est-ce qu’il racontait? Il n’était tout de même pas en train de… Je me sentais étourdie, la respiration difficile. J’avais l’impression que j’étais sur le point de tourner de l’œil… Si c’était vraiment ce que je pensais, comment repousser ses avances? Aucun moyen, sauf quitter l’organisation…. Me cacher à un endroit pour ne pas qu’il me retrouve…

- Tamaki? Vous m’écoutez? Je veux régler ça maintenant!

- Mais monsieur… ce n’est pas le moment, ni l’endroit…

- Mais mon bureau est l’endroit le plus calme de la Légio Dei! Nous y seront tranquille pour faire cette fiche.

Je ne comprenais plus rien… quelle fiche? Voyant mon air perdu, il réexpliqua ce que j’avais visiblement manqué :

- Ma fiche pour le site de rencontre… Mon ancienne m’a valu un bannissement. Alors vous m’aidez?

Je crois que je ne fus jamais autant soulagée…. Je lui demandai alors ce qu’il avait écrit sur sa première fiche, voyant cela, je du lui expliquai quelques trucs :

- Vous feriez mieux de dire « dirigeant d’une grande entreprise» plutôt que «maitre incontesté d’une organisation ayant des convictions religieuses»… Sinon ça ressemble à une secte… Tout les propos violent, contrôlant et religieux ne sont pas recommandé… ça risque de faire fuir les femmes…

Ce n’était pas pour rien qu’il avait été bannit du site, sa fiche, bien que vraie, n’était pas rassurante du tout… Après un long moment, nous terminâmes sa présentation, qui le représentait maintenant en homme fréquentable…
Mais avais-je bien fait de l’aider? Les pauvres femmes qui tomberaient sur lui…

énorme ^^
j'ai adoré ^^

comment ça les pauvres femmes? ;p
elles sont assez contentes en général pourtant ^_^

J'avoue, que je pensais l'avoir avant ce défi...

J'espère qu'il est à la hauteur de vos attentes, sinon, je peux le refaire autrement
*se rapelle qu'il n'avait pas été demandé ainsi*

sinon, je peux aussi les marier XD


Il m’avait encore convoquée dans son bureau, comme il semblait en avoir prit l’habitude à chaque semaine. Il y avait toujours une raison : Un rapport mal remplit, un agent qui a fait des problèmes, mon chef qui est introuvable… Toutes les raisons semblaient être bonnes, sauf lorsque je réussissais à avoir une mission à l’extérieur.

À chacune de ces petites rencontres, nous finissions par perdre notre calme et nous crier dessus… Il semblait que cette étape venait de plus en plus rapidement avec le temps. J’essayai de garder mon calme… mais il semblait toujours tout faire pour me pousser à bout… Il me faisait enrager à un point où la seule chose qui me faisait rester était mon orgueil… Il était hors de question qu’il ait le dessus sur moi! Que je m’enfuis la tête base, jamais!

Bien que je détestais cette homme pour ses manières, ses convictions et la façon dont il traitait les gens, je ne pouvait oublier qu’il était un véritable meneur. Je ne l’aurais jamais avoué à qui que ce soit, surtout pas à lui, mais je savais que ça place, il ne l’avait pas volé. Il avait une volonté qu’on ne retrouve que chez ceux qui sont fait pour guider les autres.

Cette fois, c’était à propos de… en fait je ne me rappelle pas exactement… Nous étions tout deux penché au dessus de son bureau à hurler un sur l’autre… Puis, il a dit que mes compétences laissaient à désirer, il l’a dit d’une façon si mesquine, que je ne pu retenir une gifle.
Cependant, il attrapa ma main, me fixant d’un regard étrange… Que je ne comprenais pas, c’était comme s’il me regardait pour la première fois… Il est vrai qu’il était rare de le voir, caché sous sa capuche.
Sans pouvoir l’expliquer, j’eus une drôle de sensation, comme des papillons dans l’estomac. Je n’arrivais plus à réfléchir à quoi que ce soit, sauf à la proximité avec l’homme.
Nous restions immobiles, comme si le temps s’était arrêté pour nous. Lorsque sa course repris, l’homme attrapa ma veste pour me tirer à lui en même temps qu’il se penchait par-dessus son espace de travail.

Comprenant enfin ce qui était sur le point de se passer, je me servis de mon autre main pour le gifler. Me dégageant, je sortie de son bureau presque en courant. Me précipitant dans ma chambre, je refermai la porte derrière moi. En m’adossant contre celle-ci, je me laissais glisser sur le sol.

Il fallait que je fasse le point… Mais tout était si confus… Ce que je pouvais le détester! Il me forçait toujours à me battre… chaque instant avec lui me forçait à garder contrôle de moi-même tout en m’obligeant à réfléchir, à parlementer aussi… Autrement dit, il m’obligeait à me surpasser… Ce qui n’était pas plus mal…
Et puis ça! Comment faire pour oublier? Il avait essayé de… mais n’avais-je pas failli me laisser faire? Ce que je pouvais l’haïr! Surtout de me faire douter du fait que je le déteste! Je ne savais plus que penser, que faire…

Une idée chemina dans mon esprit, elle me parue impossible, le contraire même de se que je pensais… Je ne pouvais pas l’aimer! Pas lui… je savais ne pas en avoir la force…. Il me viderait de mon énergie… encore plus que maintenant…

Après plusieurs heures, je ne savais toujours pas quoi faire ou penser… et cette confusion me rendait malade… je ne supportais pas de ne pas savoir, d’être aussi impuissante… Je pris donc une décision : je devais partir. Reprendre les missions en Amérique du nord, là où mon cerveau pourrait expliquer à mon cœur qu’il ne peut pas aimer le dirigeant de la Légio Dei, que c’est mon patron, mais surtout que je le déteste…

Avec le temps qui a passé depuis, la seule pensé claire qui m’ai venu est que c’était moi je détestais le plus, je me haïssais de l’aimer… et d’avoir fuit la seule fois où j’aurai peut-être du rester…

excellent
j'ai trouvé ça très bon (même s'ils ne sont pas mariés ;p)
c'st beaucoup mieux que le plan prévu en fait

congrats oh reine des défis, tu n'a pas volé ton titre

Et bien encore merci^^

Bon voilà un autre défi, c'est le 15e!!!
mais il m'en reste encore 21 sur la liste qu'Edym m'a donnée... XD

Je me rends compte qu'il y a beaucoup de dialogues... ce qui fait paraitre plus long XD

Ian

Alors que je me baladai dans les couloirs, à la recherche de la chef des observateurs pour discuter d’un problème avec une meute de loups garous, je croisais Koenig qui discutait avec un enfant.
Ce spectacle étant curieux, je m’arrêtai pour observer le jeune garçon. Il était blond, aux yeux bleus, ayant environ dix ans. C’était très étonnant comme présence en ces lieux, donc je ne pu m’empêcher de questionner :

- Mais que fais cet enfant ici?

La réponse ne se fit pas attendre, cinglante :

- Ça ne vous concerne pas Touchette!

J’étais habituée à ce qu’il me parle de la sorte, mais cette fois-ci il semblait bizarre… Était-ce un malaise? Il semblait tendu, plus près de me sauter à la gorge que normalement… Quoiqu’il ne l’aurait jamais fait… enfin je crois… il ne s’abaisserait jamais à ce niveau… enfin, j’espérais…

- Bonjour madame, Je suis Ian et Heinrich est mon papa…

Le chef semblait être sur le point de se cogner la tête contre le mur à répétition… ou d’étrangler le gamin. Je le surveillai donc attentivement afin qu’il ne lui fasse aucun mal.

Le petit commença à m’expliquer que ça mère lui avait révélé l’identité de son père quelques semaines plus tôt, puis, il avait attendu tout en concoctant son plan… Et il avait réussit à arriver ici. Bien que c’était étonnant qu’il ait réussit à passer la sécurité…

- Dit papa, tu veux bien me montrer c’est quoi ton travail?
La crispation de Koenig au nom «papa» était plutôt amusante, tout comme son embarra… Qu’allait-il répondre à Ian?

- Je dirige une organisation qui… qui surveille et gère… les activités… les activités de gens et d’animaux qui nuisent à la paix du monde…

- Comme des super héros?

- Heum… presque… sauf que on le fait discrètement, sans que personne ne s’en aperçoive…

- Comme des voleurs?

- Non! Parfois on les arrête les voleurs.

Ce petit était génial… Réussir à faire chercher ses mots au patron, c’était un exploit! Par contre, je lui fis signe de changer de sujet, sinon l’homme ne garderait pas son calme longtemps…

- Si tu es le patron, la gentille madame travaille pour toi?

- En effet, alors elle va te surveiller en attendant que quelqu’un puisse te raccompagner chez toi.

- Surveiller votre progéniture ne fait pas partie de mes taches, monsieur.

- Vos tâches sont celles que je vous donne.

- Je n’ai pas le temps, je cherche Tamaki pour une conversation sur les «méchants chiens» qui ne veulent pas rester sur leur territoire…

Il comprit que l’enfant ne pouvait assister à cet échange. Avant de continuer mon chemin je lui proposai de revenir les trouver par la suite pour reconduire le gamin chez lui. Je partis seulement après avoir menacé Koenig de le dénoncer pour négligence criminel s’il confiant le petit blond à Brandford…

Après avoir finalement rencontré Tamaki et réglé cette affaire peu pressante, j’allai trouver Koenig et Ian dans le bureau. L’homme avait réussit à faire taire l’enfant en lui refilant des crayons et des feuilles. Regardant les dessins de créatures qu’il avait faits, je ne pu que commenter :

- Et bien… peut-être prendra-t-il votre succession un jour…

Son regard mauvais m’incita à évacuer l’endroit et d’emmener le gamin. Une fois à l’extérieur des bâtiments, je sortie un billet de ma poche, le tendant à Ian je le félicitai :

- Tu as été fantastique! Il y a vraiment cru…

Juste terrible XD j'adore vraiment! xD

la question que je me pose, c'est pourquoi j'accepte tout les défis?
Pour défendre mon titre?
Parce que je cherche comment m'occuper en attendant?
Parce que ça m'amuse?

toutes ses réponses et bien plus (mais je sais pas quoi pour l'instant)


Parfois on accepte de relever des défis trop rapidement, sous l’effet des regards qui pèsent sur soi, ou par orgueil… On ne pense pas aux conséquences et on se retrouve enrôlé dans quelque chose de bien trop gros… Qu’on ne contrôle plus du tout et qui peut nous mettre en grand danger.

C’est exactement ce qui s’est passé ce jour-là.
Nous étions rassemblés dans le bureau de Koenig, les chefs de section et moi. Une partie des évènements reste flou, mais une chose est certaine, la conversation en est venu à la traversée de l’océan Pacifique en kayak… de Vancouver à Sydney… Un projet complètement fou! Dangereux, suicidaire même!
On peut dire que ça a vraiment dégénéré lorsque la discussion a dérivé sur les capacités physiques des gens présents : On oubliait Tamaki à cause de sa maigre endurance, Brandford à cause de son malaise avec l’eau… Il restait donc Koenig et moi.

- C’est ridicule, elle ne terminerait jamais la course, alors gagner contre le patron : aucune chance!

Piquée au vif, je ne pu fermer ma grande gueule… Nous prîmes donc le départ une semaine plus tard à Vancouver.
Équipés de provisions et d’un dispositif de repérage par satellite, nous débutâmes notre traversé au signal de la nipponne. Juste avant de commencer à pagayer, je pu apercevoir le bateau qui devait nous suivre pour assurer notre sécurité.

Ce qui devait arriver arriva : je me fis distancer après quelques centaines de mètres. Pas de beaucoup, puisqu’il n’était plus aussi en forme qu’il avait du l’être dans sa jeunesse, mais peu à peu la distance s’agrandit tout de même…

Lorsque je ne pu plus voir la terre que nous avions quitté, je commençai à me sentir mal… complètement désorientée… Je me concentrai donc sur un point : Koenig qui filait devant moi. En me concentrant sur quelque chose ça me permettait de ne pas désespérer. Même en sachant l’équipe de secours près, ça ne suffisait pas à me rassurer.

Après le premier jour, ceux veillant à notre sécurité nous prévinrent qu’une tempête approchait, mais le chef décida de continuer, je du donc le suivre afin de ne pas le faire gagner par forfait et me montrer faible par la même occasion…

Par contre je regrettai quelques heures plus tard, au moment où la tempête nous tomba dessus. J’avais réussis à rejoindre Koenig lorsqu’une vague nous fit chavirer. Je réussis à me raccrocher à mon kayak, mais j’avais perdu l’homme de vu, mais où était-il? Heureusement il fit surface tout près en se débattant avec sa robe de burne… mais qu’elle idée de la garder pour faire le défi?

Il nagea pour venir s’agripper à mon embarcation. Nous restâmes un moment à nous tenir au kayak, espérant que les secouristes arrivent… mais ils prenaient bien leur temps! Bon, ils devaient craindre pour leur propre bateau…

Lorsqu’enfin l’orage cessa, nous fûmes repêchés, enfin. Cette situation était vraiment gênante… Mais nous étions vivant, c’est ce qui importait le plus.

La vie sembla ensuite reprendre son cour… jusqu’à ce qu’il soit question d’une course de Drakkars… Pour toute réponse, je me levai et claquai la porte derrière-moi en sortant…

Bon, je n'irai pas jusqu'à dire que je relève les défis plus vite que vous ne les lisez, mais c'est pas mal ça quand meme... XD

Sinon, par curiosité vous en aviez un préféré?

Transformation

Tout semblait indiqué que c’était une journée comme les autres. Le matin je m’étais engueulé avec Koenig, j’avais ensuite joué quelques tours à Tamaki, m’étais caché de Brandford, avais donné des indications aux agents de terrain… Comme à chaque fois, rien n’indiquait qu’un évènement imprévu allait se produire au déjeuner.
Évidement que rien ne pouvait laisser croire qu’un commando ramènerait sa découverte dans la cafétéria à l’heure de pointe et au moment où tous les hauts gradés s’y trouvaient… Encore moins qu’un de ses collègue, allait lui disputer la pierre bleue… pierre bleue qui, s’ils avaient eu un peu de jugeote, aurait été amenée aux experts afin de s’assurer de l’inoffensivité… Mais puisque nous parlons ici de muscles, et non de cervelles, les deux commencèrent à se battre pour l’objet…

Lorsque le caillou s’illumina d’une douce lumière bleuté, ils restèrent béatement là à regarder, alors que même Koenig leur disait de s’éloigner de l’objet… Puis un grand flash nous aveugla tous. Une fois que je pu ouvrir de nouveau l’œil, je constatai que j’étais sur le sol, entouré d’animaux!

Les observant, je les trouvai particulièrement familier… pourquoi avais-je l’impression de les connaitre? L’énorme loup blond avec la robe de burne? La hyène rousse à côté de lui… La belette noire un peu plus loin… même le couguar blond là bas…

Je réalisai que c’était là mes collègues… Les tables des observateurs étaient peuplées de fouines, lapins, rats, souris… Parmi les commandos, il y avait surtout des prédateurs de toutes les tailles, des vautours… Le groupe des agents de terrain était, comme à son habitude, le plus hétérogènes, ça allait du chien au cheval en passant par quelques drôles d’oiseaux…

Et moi? Qu’est-ce que j’étais? M’approchant d’une table je grimpai sur la chaise pour réussir à voir mon reflet dans une cuillère : Un long museau fin, de grandes oreilles... J’étais un renard avec un bandeau sur l’œil!

Koenig engueulait consciencieusement les responsables, un vautour et un coyote, pendant que Lily ricanait un peu plus loin.

- Mlle Touchette? Qu’es ce qui va se passer maintenant?

Je fut surprise que le couguar-Claymore vienne vers moi pour avoir des renseignements, mais en regardant la hyène rousse qui ne semblait plus pouvoir commander à cause de son fou rire, ça me sembla logique…

- Je ne sais pas… Il va falloir que le chef se calme tout d’abord…

Mais il ne semblait vraiment pas près de se calmer… Tout comme le reste des membres, qui semblaient de plus en plus agités… Mais soudain, tout le brouhaha se tu, lorsque la porte s’ouvrit brusquement, laissant entré un homme qui ne pu que rester bouche bé devant le spectacle.

Il était pour retourner d’où il venait lorsque que m’élançai vers lui en l’appelant :

- Attendez… heu… Ricci!!

Il fut sans doute très surpris de voir un renard brun à bandeau s’approcher de lui. Mais puisqu’il me regarda, au moins je su que je ne m’étais pas trompée de nom…

- Mlle Touchette? Je rêve ou quoi?

- Malheureusement pas… Un incident est survenu avec la pierre bleue là-bas… C’est surement le moyen de nous rendre notre ap… ahhh mais qu’est-ce que vous faites? Lâchez-moi!

Il me tenait maintenant à bout de bras, comme on tient un chiot ou un chaton… Me débattant pour qu’il me repose sur le sol, je commençai à envisager de le mordre lorsque le vieux loup s’approcha :

- C’est comme ça que vous traitez la remplaçante de votre chef de section?

Cette situation était particulièrement gênante… surtout que l’homme ne semblait pas près de me déposer, fixant le chef, ne sachant que répondre… Mais finalement, j’eu la joie de retourner sur le sol, lorsqu’il alla voir le fameux caillou que Yuko la belette examinait.

- Il y a surement un moyen de l’utiliser pour retrouver notre forme d’origine. La question est de savoir comment…

Ricci attrapa la roche, ce qui entraina un autre flash de lumière bleue… Ouvrant les yeux, je constatai que le problème n’était toujours pas réglé… Devant moi se trouvaient toute une bande de… lapins!

Je sautillai jusqu’à cette foutue pierre que je commençai à frapper… Réaction sans doute stupide, mais qui défoulait. Donnant un coup de patte je l’envoyai contre le mur, ce qui eut pour effet de nous retourner dans notre forme précédente… ce qui était toujours mieux que d’être des lapins…

- Peut-être qu’un autre choc nous rendra notre forme?

- La belette a surement raison…

C’est qu’il était impressionnant de près ce loup… Hésitante, j’envoyai de nouveau le caillou contre le mur. Koenig me poussa pour le faire lui-même en grognant que ça manquait de force…
Prenant l’objet dans sa gueule, il l’envoya se fracasser sur le mur…

Fermant les yeux, je n’osai les rouvrir, de peur d’être toujours entouré d’animaux… Mais finalement je regardai et constatai que tout semblait rentrer dans l’ordre... Quel soulagement!

J'adore XD Et demander un préféré est impossible xD ils sont tous très bien xD

ils sont excellents ^^
(koenig toujours aussi con ^^")

n'empêche, ça devait être folklo le coup de la cantine ^^"

ba j'avoue que j'aurai du mal à me prononcer, ils sont tous excellents

Y'a tout de même plus de 2 semaines que je n'ai pas fait de défi...

Cette fois c'est un peu une vengeance personnelle, mais rien de vraiment méchant...

Le pari

Je finis par arriver sur ce vieux terrain d’entrainement caché, où Koenig m’avait demandé de les rejoindre. Sortant d’un buisson, je me retrouvai brusquement au centre de l’espace découvert. C’est à ce moment que la «douce» voix du patron m’interpella :

- Touchette! Si vousne voulez pas finir en morceaux, dégagez de là!

Remarquant enfin Tamaki et Brandford, chacune de leur côté, prêtes à se battre, j’allai rejoindre l’homme dans l’abri blindé, car après tout, la rousse avait son bazooka… Ce quine présageait rien de bon pour tout ce qui se trouverait sur le terrain…

- Mais qu’est-ce que cela signifie monsieur?

Il semblait que c’était encore cette histoire de McDonald qui dégénérait… la chef des commandos voulait qu’on poursuive l’enquête, alors que la nipponne ne voulait plus que l’on perde du temps avec cela… Elle qui pourtant rassemblait parfois des informations si futiles… et elle refusait ça?! Bon peut-être avait-elle peur,après ce qui m’était arrivée…

- Et si on pariait sur la vainqueur?

Mais parier tout les deux sur la victoire de Brandford, ce n’était pas très constructif… donc c’est moi qui du fonder mes espoirs sur Tamaki… Par contre, je savais que ces chances étaient loin d’être nulles puisqu’elle avait recommencé à s’entrainer un peu.Je me forçai à ne pas me montrer défaitisme, faisant comme si j’étais certaine de sa victoire.
Par contre, cet excès de confiance apparent se retourna contre moi, lorsque qu’il vint temps de parler des enjeux : Il proposait une somme énorme!

- Je n’ai pas cet argent,monsieur…

- Si on parlait d’une journée sous les ordres de l’autre?

- Mais je suis déjà sous vos ordres…

- Mais pas entièrement, vous avez tout de même une grande liberté… Ce n’est pas à vous que je demande mon café, ou encore de classer mes papiers…

Bon ça paraissait chiant si je perdais, mais si je gagnais, je me retrouvais plus puissante que le chef pendant une journée…

Il fit ensuite l’annonce au micro, question d’être certain que Brandford soit plus que motivée à écraser son adversaire, comme si ce n’était pas déjà le cas…

Le combat commença.La rousse tira sur la nipponne, qui évita habilement les obus. Se rapprochant de l’autre à chaque bond. C’était intéressant puisque les deux avaient un style de combat différent et des armes complètements différentes aussi… Tamaki portait ses gants avec les fils tranchants, fait pour le combat rapproché….

Puis soudain, il y eu un bruit étrange, puis le bazooka de la rousse émit une petite explosion,qui projeta sa propriétaire contre un arbre l’assommant sur le coup.

- Défaite par KO?!Si je m’attendais à ça… Il semblerait que j’ai gagné le pari…

Mon grand sourire ne plu évidemment pas à Koenig, mais il finit par accepter que sa protégée avait perdu… par un malheureux accident, mais le résultat était le même.

Je me retins de jubiler trop fort, car l'homme restait une menace constante, même sous mes ordres… quoiqu’il était peut-être le moment de s’amuser un peu…

- Je suis fatiguée il me faudrait une monture pour retourner à la Legio…

- Demandez à Tamaki…

- Mais cette pauvre petite risquerait de s’écrouler sous mon poids…

C’était en fait une évidence, puisqu’elle était plus petite que moi… Alors je grimpai sur le dos de celui qui était normalement mon patron… Laissant la nipponne surveiller la rousse jusqu’à son réveil.
Bien que j’avais une envi irrésistible de crier «hu dada!» je me tus, il ne fallait pas trop pousser le bouchon non plus…

Je m’installai confortablement dans le bureau du chef, lui donnant des ordres, comme d’aller chercher des biscuits à la cafétéria trois fois sous prétexte que ce n’était jamais la bonne sorte… Ou encore le faire reclasser les dossiers que j’avais «accidentellement»échappés…

Il sembla près à sortir de ses gonds plusieurs fois, mais il tint bon. Puis à un moment alors que je lui demandai de cirer mes souliers, il sortit son arme à feu, me la pointant sous le nez, il me déclara :

- La journée est terminée, je reprends mon poste… Et je vous laisse 20 secondes d’avance…

Tenant à ma peau, je pris donc la fuite… C’est fou ce que l’instinct de survit aide à courir vite…

j'apprécie la vengeance ^_^
mais kadaj en canasson c'était plus mignon ;p

Et voilà le retour des défis!!! J'avais un peu laisser la liste d'Edym en plan pendant ces derniers mois...



J’avoue que je ne comprenais pas cette nouvelle lubie de Koenig. Cette fois, il voulait faire un voyage de pêche. Jusque-là, pas de problèmes, il a bien le droit de vouloir prendre quelques jours de vacances. Il voulait plus précisément obtenir un gros trophée provenant du Loch Ness, la encore, rien d’incompréhensible, il était certain que le chef de la Légio Dei ne se contenterait pas de simples
poissons.

Même qu’il décide d’amener quelques personnes avec lui me semblait normal. Après tout, Brandford et
son bazooka seraient surement utiles, même en bateau. Mais MOI?! Même Tamaki aurai eut plus sa place dans l’embarcation! Elle leur aurait trouvé plein d’information pour leur périple… et des trucs du genre… Mais MOI?! «Vous êtes la meilleure chasseuse…» pff… je traque sur la terre ferme…


En fait, j’étais convaincue qu’il chercherait à se débarrasser de moi et faire passer ça pour un
accident de pêche… Il ne me supporte pas plus que 10 minutes dans son bureau, on va faire quoi sur un bateau? Avec L’autre danger? Une minute… moi, seule avec deux commandos qui me détestent?! Bon j’étais morte…

Lorsque nous prîmes l’avion ce matin-là, aux aurores, je vis que la commando Malf Claymore nous accompagnait. Était-ce bien ou mal? Elle m’appréciait, enfin je crois… Mais elle était aussi très obéissante face à Koenig et Brandford… J’avais de bonnes raisons de craindre se voyage… Au pire, je me jetterais dans l’eau en espérant de ne pas me prendre un obus par la tête ou de ne pas me faire bouffer par la créature aquatique…

Il n’y eut aucun incident pendant le vol, il faut dire que faire semblant de dormir aide à ce qu’il n’y ai pas d’accrochage… Une fois en écosse, le chef loua une voiture qu’il insista pour conduire… Je cru mourir une dizaine de fois, mais nous arrivâmes finalement en un morceau au quai où un bateau semblant tenir en un morceau par magie nous attendait.

La rousse sembla mal à l’aise de monter, mais ne voulant pas décevoir l’autre fanatique, elle monta à sa suite. La blonde et moi la suivîmes.

Aussitôt à bord, le vieil homme nous servant de capitaine démarra. J’avais l’impression que le la moindre vague risquait de nous faire couler… Disons qu’un bon remontant aurait été le bienvenu… Ça m’aurait calmé un peu, m’empêchant de faire les cents pas sur le pont, ce qui ne manqua pas d’énerver Koenig. Mais bon, parfois, juste le fait que je respire semblait l’énerver…

- Touchette! Arrêter ce manège ridicule ou vous ne marcherez peut-être plus jamais!

Je me retins de lui dire que j’aurais sauté à l’eau bien avant qu’il ne m’ai attrapé… ce qui aurait diminuer mes chances de survit… Surtout avec la rousse qui n’attendait qu’un signe pour me faire la peau…

M’asseyant sagement, je lui demandai quel était le plan.

- Ce pêcheur dit que la bête lui vole souvent du poisson, alors nous l’accompagnons pendant qu’il va relever ses filets, nous avons peut-être des chances de l’apercevoir.

- C’est n’importe quoi… Ce n’est même pas une stratégie…

Un simple regard me fit taire… j’étais pas suicidaire non plus…

Un mouvement dans l’eau mit le bateau en émoi : Koenig arma un immense harpon, Brandford sortit son bazooka tandis que Claymore armai son fusil à pompe. Et moi? Je me contentais de les regarder. Trois surexcités, c’était déjà bien assez…

Un coup donné sur la coque nous déstabilisa, m’envoyant contre le chef, qui déclencha le harpon, qui
frôlant la rousse, qui échappa son bazooka à l’eau.

- Mon bébé!!!

- Touchette! Allez le chercher!

- Heu... pourquoi moi?

- Parce que c’est de votre faute et que je vous le demande, et que je vais vous jeter par-dessus
bord de toute façon…

- Mais Nessie risque de vouloir me bouffer!

- Et alors?

C’est alors que la chef des commandos en profita pour me balancer dans l’eau. L’eau était froide. Ils me lancèrent le bout d’une corde que je devais attacher à l’arme pour qu’ils la remonte. Koenig me lança aussi une lampe que je ne pu attraper et qui coula au fond de l’eau.

Plongeant, je tentai de suivre le faisceau lumineux. Par contre, un truc énorme passa près de moi, ce qui me fit accélérer. Plus vite je retrouvai ce foutu bazooka et plus vite je serai en sécurité…

La chose me frôla, me faisant paniquer et tirer sur la corde. En moins de deux, je fus à la surface, laissant ceux sur le bateau déçu que ça ne soit que moi et non l’arme de destruction…

- Y’a un truc énorme dans l’eau!!!

- Et on est là pour quoi selon vous? Si vous remonter sans le bazooka, je vous jure que je vous
noie moi-même…

- Mais j’arrive pas à descendre assez vite sans manquer d’air…

J’eu droit à une encre en cadeau… ce qui était évidement très efficace pour se rendre au fond
rapidement. Par contre j’heurtais un gros corps mou, ce qui nous fit tournoyer jusqu’en bas. Étourdie, je remarquai tout de même l’objet de ma descente, éclairé par la torche électrique.

J’y attachai la corde, tirant un bon coup et la remonté commença… jusqu’à ce que la courte corde de l’encre, qui c’était enroulée autour de mon pied, me retienne. Je du lâcher l’arme afin de ne pas finir écartelée.

Il ne me restait presque plus d’air dans les poumons, je sentais ma tête tournée alors que je tentai de me dépêtrer de la corde me retenant.
Comme si e n’était pas assez, le monstre se dirigeait vers moi!

Alors que je croyais finir dans son ventre, il coupa la corde de sa mâchoire avant de se glisser son moi. M’accrochant, je me fis ramener jusqu’à la terre ferme. Une fois assise sur les galets, je regardai la bête que les gens avaient nommée Nessie.

- Tu ne comprends probablement pas, mais Merci…

La bête mit sa tête à ma hauteur, me permettant de la gratter.

- Sauve-toi. Il ne faut pas que tu sois vu.

Il repartit, replongeant dans l’eau du Loch. Après un moment j’entendis la «douce» voix de mon patron :

- Touchette! Remuez-vous un peu! On retourne au Vatican.

Le voyage de pêche semblait finit, heureusement.

Alala

j'aime quand koenig torture anna <3

ça fait du bien de relire des défis

Tant mieux si ça t'as fait du bien^^
Koenig est un sadique ><

Et voilà le 20e défi!!! demande de Malf.

Une famille?

Parfois, je laisse mon esprit dériver sur des théories étranges… comme celle des univers parallèles. Un jour, mes réflexions furent interrompues par une remarque de quelqu’un : «Mais la Légio Dei est une grande famille!» Il en résultat un mélange de ces deux idées… Et si dans un autre univers, nous avions été une vraie famille?

Koenig aurait été le père, strict et sévère, mais très fière de ses deux filles d’un mariage précédent : Lily et Malf, qui ont respectivement 13 et 8 ans. Elles sont très obéissantes et partagent toutes ses convictions. L’homme a aussi un garçon, Alessandro, 15 ans, un adolescent nonchalant et du genre flegmatique.

La mère, Yuko, aurait aussi deux filles : Annabelle, 16 ans, une adolescente rebelle aimant jouer des tours, et Beatrice, 14 ans, une antisociale qui aime bien avoir la paix.

Le couple a eu un fils ensemble, il s’appel Gabriel et il a 6 ans et a peur de son ombre, comme sa mère, ce qui exaspère son paternel.

Il faut aussi souligner que c’est la guerre entre Anna et son beau père, elle n’arrête pas de saper son autorité et de tout remettre en question.

Je me suis ensuite demandé comment serait une journée dans leur vie…

Réveil à 6h, inutile de dire que les deux filles de Koenig sont levées, habillées et prêtes à partir pour l’école avant qu’il ne passe frapper à leur chambre. La cadette de Yuko se prépare aussitôt réveillée, tout comme le petit Gaby. Pour ce qui est des deux aînés, ils paressent au lit jusqu’à presque faire peter les plombs à leur « père ».

Ils finissent tout de même par être prêts à temps pour aller prendre l’autobus, sauf parfois, lorsqu’une dispute éclate entre l’ainée et son beau père. Mais pas ce matin-là, les parents peuvent donc partir travailler tranquillement.

Une fois dans le bus, les enfants s’assoient avec leurs groupes. Personne ne les embêtent, car ils savent se défendre, sauf pour Beatrice, qui s’en fou et pour le cadet, il a ses demi-sœurs et son demi-frère qui sont là, sans parler de la réputation de son père… Koenig n’est pas le genre d’homme qu’on contrarie en agaçant les enfants…

À l’école, c’est très routinier, c’est souvent sans incident, sauf si Annabelle décide de faire des farces, comme échanger de nom avec une amie lorsqu’il y a un remplaçant ou mettre des panneaux «hors d’usage» devant les toilettes.

Puis, à la fin de la journée, c’est le retour à la maison. Les enfants font leurs devoirs, pendant que Yuko prépare le repas. Ensuite, ils mangent tous ensemble en parlant de leur journée. L’ainée et Koenig réussissent à ne pas trop s’engueuler avant le dessert, puis l’adolescente file dans sa chambre pendant que sa mère tente de calmer l’homme.

Somme toute, malgré les différences de caractères, ça pourrait être une famille plutôt unie. Tout comme ça pourrait devenir très chaotique… difficile à dire, mais une chose est sure, tant qu’on ne peu pas visité les univers parallèles, impossible d’en savoir plus…

Je m'attendais pas du tout à ça XD Mais alors pas du tout xDD Je voyais plutôt avec les persos comment ils sont maintenant XD
Mais ça m'a bien faite rire quad même xDDD

XDDDDDDDDDDDD wow, awesome! XDDDD la vie de famille est... XDDDD
Mais... QUI A TOUCHÉ À SACHA!!!!!
TT.TT
Sacha au fond de l'eau.... snifffffff

yay !
jsuis le nonchalant flegmatique ! \0/ :p

Et un autre défi! une beuverie, à la demande d'Aless^^ J'espère que ça te plaira.

Un p’tit coup…

- On va prendre un coup.

- Pour quelle raison?

- depuis quand on a besoin d’une raison pour boire? Alors on n’a qu’à dire que c’est pour souhaiter la bienvenue à la nouvelle…

- Quelle nouvelle?

- Ben… Smith!

- Mais ça fait des années qu’elle est là… t’es déjà saoul ou quoi?

Alessandro semblait plutôt déçu que son coéquipier, Gabriel, refuse de l’accompagner. D’ailleurs, Beatrix ne semblait pas très emballée par l’idée non plus… Je pris donc le relai.

- Aless, il faut présenter les choses de la bonne façon… Beatrix, nous avons un endroit à te montrer, c’est en quelque sorte un lieu de rassemblement pour les agents de terrain. Tu te dois donc de le connaitre et de passer cette connaissance au suivant.

- Et c’est quoi cet endroit?

- Mais ne soit pas si impatiente ma jeune apprentie…

L’autre agente semblait nous prendre pour des fous, mais elle consentie à nous suivre, question que nous cessions de l’embêter, Le blond nous avait aussi suivie, sans doute pour la même raison… Ou pour être certain que nous retrouvions notre chemin plus tard?

Quoiqu’il en soit, nous nous rendîmes au pub, prenant place dans un coin tranquille. Je commandai un pichet de bière, question de commencer la soirée tranquillement. Quelques pichets plus tard, alors que nous nous racontions des anecdotes de mission…

- Je vous jure! La dernière chose que j’ai vu, c’est le dos d’un observateur en fuite avec un chien au derrière! Et plus tard, la pauvre bête est revenue avec un morceau du pantalon…

- Une chance que ce n’était qu’un chien banal.

- En effet, sinon je donnais pas cher de la peau du type…

- Hey Anna, t’as pas envi de nous chanter une p’tite chanson québécoise?

- Non, mais si tu paye la prochaine tournée, j’le fais.

M’éclaircissant la voix, je commençai à chanter :

- Prendre un verre de bière mon minou
Prendre un verre de bière right through
Tu prends ta bière
Tu m'en donnes pas
Je te fais des belles façons
Je te chante des belles chansons
Donne-moi en donc!

- Tiens, tu mérite ton prochain verre.

J’attrapai le verre qu’il me tendait, en prenant une grande gorgée, pendant que les autres applaudissaient ma performance.

- Et si on passait à notre grand amour? Waitress! Une bouteille de vodka!

La serveuse nous amena une bouteille et des verres. Aless se dépêcha de servir toute notre petite bande. Ou plutôt, il essaya, puisque les deux autres tenaient absolument à dilué leur boisson avec du jus… quel sacrilège!
Mais bon, ils semblaient dans un état tout de même avancé… Beatrix supportait la présence du peureux à moins de trente centimètres et lui disait des trucs incohérents…

- Mais oui! Les crevettes peuvent attaquer les gens qui tentent de les regarder dans les yeux…

- J’suis pas convaincue… Mais on va dire que oui…

Puis tout devient un peu confus… à un moment, mon ami était sur une table dansant joyeusement, il m’invita à le rejoindre, mais la pauvre table ne supporta pas et nous nous retrouvâmes sur le sol à ricaner comme deux idiots… ou comme deux personne très bourrés, tout dépend du point de vu je suppose…

Lorsque le pub ferma, j’appelai Skinner pour qu’il vienne nous chercher. Bien que mécontent de ne pas avoir été invité à notre petite beuverie et que je l’ai réveillé, il nous raccompagna jusqu’au Vatican, nous laissant retrouver nos chambre seuls.

De cette étape de la soirée, ou plutôt de la nuit, je ne me rappelai pas grand-chose… Je fus donc surprise de me réveiller dans le même lit qu’Alessandro et Gabriel quelques heures plus tard…

Tentant de sortir discrètement, je trébuchai sur Beatrix qui dormait devant la porte. Lorsque je percutai le panneau de bois, ce dernier décida de s’ouvrir et je terminai ma chute dans le couloir, aux pieds de Koenig qui passait par là… Super… Et un de ces maux de tête venait de me prendre…

- On peut savoir ce que vous faisiez dans la chambre d’un de vos collègues?

- Si seulement je le savais moi-même…

Le dirigeant n’était vraiment pas content…

- On fait un marché? Vous oubliez ça et moi j’oublis que vous aimez tripoter Brandford… Bonne journée!

Et sur ce, je partie me coucher dans mon propre lit pour le reste de l’avant-midi.

Je tripote pas Lily !!! ><

c'était excellent ^^
j'imagine trop le truc

Défi de Lily, me demandant de raconter un peu le passé de Skinner.
Je crois que j'ai fait plus long que pour mes présentations de mes perso ><

sinon... Et oui, Heinrich est un vieux pervers... la preuve, maintenant les chefs de sections sont que des femmes


Qui est Skinner?
Cette question vient toujours des nouvelles recrues, puisque l’homme est connu des autres membres de la Légio, du moins, des agents de terrains.

Cet agent dans la quarantaine a un passé bien mystérieux. Il peut sembler normal, souriant à tout le monde, réconfortant les uns, donnant quelques astuces aux autres… Mais comme nous tous, il porte un lourd passé.

Personne ne sait son vrai prénom, les rumeurs disent que c’est parce qu’il est trop ridicule, d’autres croient que c’est parce qu’il ne s’en rappelle pas… Mais moi je sais que c’est parce que ça lui rappelle de bien mauvais souvenirs, car les gens l’appelant ainsi, ceux lui étant proche, sont tous morts. Étant superstitieux, il refuse désormais de le révéler. Certain, comme moi, connaissons, mais nous continuons de l’appeler Skinner.

Bien que je me refuse à divulguer son prénom, je peux cependant révéler qu’il vient d’une petite ville américaine nommée Springfield. Ce n’est certes pas une grande révélation, puisque presque n’importe qui aurait pu trouver cette information, tout comme le fait qu’il avait une formation militaire et qu’il projetait de devenir le Principal de l’école.

Mais ensuite, toute trace de lui disparait des dossiers accessibles par le commun des mortels. Il fut compté parmi les victimes d’une catastrophe nucléaire ayant touché la ville.

Vous êtes en droit de vous demander ce qui s’est vraiment passé ce jour-là. Étais-ce vraiment qu’un accident nucléaire? Et bien non. Il y a vraiment eut une défaillance dans la centrale, mais si ça n’avait été que cela, il n’y aurait pas eut de quoi en faire toute une histoire… Le problème fut que des hommes furent surexposés aux radiations, ce qui les modifia jusqu’au plus profond de leur code génétique.
Ils moururent, sans vraiment trépasser. Leurs esprits étaient morts, leurs chairs commencèrent à se décomposer, mais ils continuaient d’avancer… et de manger. Comme vous avez surement deviné, il n’était plus question d’humains, mais de zombies.

Où se situe notre cher Skinner dans cette histoire? Il a fait partit de ceux ayant résisté aux créatures, avec son ami, Louis Martinez.

Les commandos et les agents de terrains envoyés pour régler le problème de Springfield les trouvèrent sur le toit du bar, avec quelques autres survivants. Ils furent enrôlés dans l’organisation.

Une fois les survivants sains évacués, les commandos firent carrément exploser la ville afin de se débarrasser des morts-vivants. Puis les informations furent manipulées afin que tous croient à ce fameux accident nucléaire…

Ainsi, il ne restait plus rien de l’ancienne vie de Skinner et Martinez, excepté leur amitié. Ils avaient tout perdu, leur famille, leurs amis…

Ensemble, ils évoluèrent dans la Légio en tant qu’agent de terrain. Avec leur expérience ils entrainaient les nouveaux, qu’ils recrutaient. D’ailleurs, c’est Skinner qui est venu me parler à l’hôpital, après que je me sois fait attaquer. Je me souviens qu’il avait déjà les cheveux gris.

Lui et Martinez sont devenus mes entraineurs, puis mes amis, bien avant d’être sous mes ordres. Bien avant que le pauvre Louis se fasse tuer en Irak…

La mort de mon ami m’a bien sur atteinte, mais ce n’est rien en comparaison de ce pauvre Skinner, qui passait tout son temps avec lui. Ils étaient partenaires depuis leurs début dans l’organisation, depuis qu’ils avaient survécut aux zombies de Springfield…

Et maintenant, Skinner ne sourit plus, il arpente les couloirs avec cet air si égaré que ça fait peine à voir. Et je l’empêche de faire son deuil tranquillement, en l’obligeant à venir en mission, car il a l’expérience et ma confiance, ce que peu ont en ces temps troubles.

J’espère seulement ne pas avoir fait d’erreur…