Hidden in Darkness
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XXIeme siècle, début d'un nouveau millénaire pour l'homme, maître sur Terre. Pourtant il est d'anciens êtres tapis dans l'ombre dont ils ne soupçonnent pas l'existance. Protègerez-vous vos congénaires ou fuirez-vous?
 
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 On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si]

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2 participants
AuteurMessage
Fabrizio Valeri

Fabrizio Valeri


Messages : 1
Date d'inscription : 19/04/2011

On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si] Empty
MessageSujet: On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si]   On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si] Icon_minitimeMar 19 Avr - 11:59



Nom: Valeri

Prénom: Fabrizio

Age: 16

Affectation souhaitée: Agent de Terrain ~

Arme(s) choisie(s): N'importe quoi tant que ça peut lui permettre de terminer sa mission en excluant les strings léopards

Description physique: Imaginez le crépuscule, quelque chose comme ça, un léger vent qui se glace de plus en plus à mesure que la course de l’astre solaire s‘échoue derrière l‘horizon. Peut être bien assis sur un toit ou à même le sol d’herbe ou de dalles se tient un jeune homme qui, en regardant l’horizon se nimber de flammes, ne pense pas à autre chose que se qui se cache derrière cet horizon, derrière ce ciel qui deviendra d’un noir d’encre, aussi noir que ses pensées sans doute, aussi noir que son regard. Car oui son regard est une des premières choses que l’on peut remarquer en le regardant bien. Contrairement à la majorité des couleurs qu’il porte, ses yeux sont d’un vert feuille tout à fait pur, l’herbe, une pomme peut être, cela peut envoyer à ces éléments. Ils éclairent son visage fin et encore bien juvénile pour l’air sérieux qu’il porte. Ce visage est doux, on ne va pas le lui renier, c’est un beau visage à l’air grave et bien souvent rêveur ou lascif, qui arbore quelques fois un air tout à faire ironique, quelques fois encore il est alourdi de quelques cernes et de traces d‘une vie pas tout à fait calme et reposante. Ce doux visage au teint hâlé par le soleil et les voyages est encadré par des mèches d’une couleur plutôt banale quoique foncée et sans détour, un brun aussi pur que ses yeux sont verts. Légèrement longs, lui arrivant en fait aux épaules, il les attache les plus souvent à la va-vite, lui laissant une franche et des mèches de cheveux plus courts pour être eux-mêmes attachés. Bien souvent le lien fragile qui les attache rompt ou se détache tout seul, alors il se retrouve ennuyé par les mèches qui lui tombent dans les yeux. Il ne les coupe pas souvent, ne s’en occupe pas à vrai dire, il n’en a rien à faire. En détail, on peut aussi mentionner sa voix, qui est grave et calme, mais peut aisément couvrir les autres une fois que le gamin se mette à hurler et à hausser le ton, plus modérément.

Une partie de faite. Parce que c'est pas fini. Le jeune homme au si beau visage décrit ci dessus n'est pas très grand dans l'ensemble. Ni petit également, un bon mètre soixante-dix, il a pas fini de grandir, attendez, il vient d'avoir seize ans ! Et il fait pas plus de soixante-dix kilos, enfin, pour ça, il va falloir l'attraper, ce qui n'est pas une mince affaire, le gosse est très, très rapide. Surtout pour la fuite qui est aussi innée chez lui que les belles paroles. Pour la carrure, c'est proportionnel, on voit bien qu'il a jamais approché un cours de sport, du moins très rarement. Dans les détails, on peut encore tout juste discerner quelques marques qui l'on ne voit plus énormément sur son dos, u son torse et se bras, souvenirs et preuves du fait qu'une grande gueule et une réputation ça se mérite. Ensuite, faisons tout ça d'un bloc, il s'habille n'importe comment, le style c'est pas un mot qu'il connaît. Selon tout apparence, il privilégie ce qu'il lui permettrait de fuir plus rapidement et ce qui est sobre, allez savoir si ça se trouve c'est vrai en plus...

Ce qui frappe également c’est sa manière de se tenir, peut importe cette manière, il est aux aguets, jamais totalement lascif peut importe le vague de ses yeux. Mais c'est bien planqué, inutile de fouiller bien loin pour trouver l'imbécile qu'il est réellement.

Description mentale: Alors ça, c'est simple, Fabrizio est un crétin. Mais s'il y avait que ça, ce qu'il y a derrière l'écran ne pourrait faire plu de trois lignes. Alors on va un poil détailler en passant par divers détails plus ou moins importants et visibles. Il est et restera toujours quelqu'un sans aucune logique, peut importe le nombre de fois où il le dit et se vante de ses plans. On ne peut le résumer en quelques simples mots, on ne peut affirmer son caractère car lorsqu'on le voit à l‘opposé des descriptions que l‘on pensait justes, c‘est… triste ? Décevant ? Allons pour décevant. On peut le concevoir comme quelqu'un se passablement calme, la majorité du temps, un calme plat, silencieux. Bizarre non ? Sans aucune logique... on pourrait croire qu'en fait il bouge partout, tout le temps et sans arrêt. C'est la cas, de temps en temps quand il a un plan en tête. Aucune logique, aucun sens pratique. Sûr de lui, il regarde toujours derrière et vérifie toujours si Judas, son cactus adoré, fait la guet à la porte de sa chambre avec une corde tendue devant pour qu'on tombe dessus.... un contresens ? Comment ça ? Ah oui, oups. Sûr de lui et parano. Totalement parano le pauvre garçon. Il planque tout ce qui lui appartient, a souvent recours à des plans incroyables pour éviter telle ou telle personne, a une haine de l'imprévu peu commune. L'imprévu, ce grand ennemi...

Parlons-en justement, des imprévus, enfin de leur contraires, les plans. A répétition, sept jours sur sept et 24 heures sur 24, l’esprit du jeune homme est en marche. Pour éviter quelqu’un dans la rue, il prépare des stratagèmes abracadabrantesques totalement innés et impensables parfois, allant même jusqu’à l’imbuvable. Il est lui même incroyable lorsqu’il débite des tronçons entiers de stratégies guerrières (ou pas, remarquez). Cela va du plan tout simple « je tourne de ce côté, ensuite de ce côté pour l’éviter et finir derrière lui si tout va bien » au plus avancé « je grimpe cette échelle pour finir sur cette corniche et avec de la chance… non, non, de la chance c’est trop vague comme terme, alors je prend par cette rue et… » vous avez compris l’idée je pense. Notons le ’si tout va bien’ à la fin de la première phrase. Défaitiste le gamin ? Oui, car la majorité de ses plans aussi géniaux soient-ils sont voués à l’échec, le dur, cuisant et noir échec. Il peut inventer tout ce qu’il veut, il y aura toujours un évènement qui viendra contrecarrer ces magnifiques et inestimables (selon lui) plans. Les Voix de Là-haut peuvent bien l’inspirer, le Seigneur ne lui a apparemment pas donné le don des plans infaillibles. Il n’en reste pas moins un bon stratège, pour les plans auxquels il contribue et non aux plans qu’il fait en entier. Ce qui n’est déjà pas mal ! Qu’on se le dise…

Passons à cette fierté mal placée, le jeune homme est fier… On commence à la savoir mais, cette fierté est celle de quelqu’un qui ne veut pas se laisser avoir, ni faire par d’autres. Il n’est ni très grand ni très fort mais a une grande gueule. Disons-le comme ça. Il peut parler dix minutes d'affilée non stop, trouvant toujours un sujet. Et attentions à ses expressions purement de son cru traitant de croisés et de Templiers. De la verve, de l’esprit et une charmante éloquence qu’il décide de montrer toujours au mauvais moment, alors qu’il ne faut justement pas la montrer. Il le dit bien souvent avec sarcasme, un sourire faux, des propos tranchants comme la lame d’un couteau Celui lui vaut énormément de coups mais il ne trouve jamais cela vain. Il parle pour ce qu’il pense être juste, sa foi et ses pensées s’y trouvent souvent bien logées. Il dit tout haut ce qu’il pense tout bas, souvent il pourrait l’utiliser pour dérider une ambiance trop tendue lorsqu’il est de bonne humeur, mais le plus souvent, c’est pour cracher haut et fort le fond de sa pensée. Il ne garde jamais rien pour lui longtemps lorsqu’il y voue une importance moindre en tous cas. Il est bien capable de garder un secret pendant des années, ça je peut vous l’assurer. Ce tempérament de tombe à secrets va de pair avec le fait qu’il ment par réflexe, avec naturel et enclin. Mentir pour une question simple, mentir pour une raison de vie ou de mort. Cependant, il aimerait ne pas avoir à la faire, il aimerait également que l’on ne doute pas de lui, que l’on prenne ses paroles pour argent comptant. Mais cela serait malheureusement très dur, ou impossible. Il a mauvaise conscience extrêmement vite, et mentir, il n’aime pas ça peut importe ce qu’il vous dise, croyez ses yeux brillants alors qu’il vous dit qu’il n’y a rien dans cette cave, il n’y a rien dans cette cave, je vous jure. Ou pas. Ment-il ? Ou alors dit-il la vérité derrière ce mensonge ? Un mensonge à double fond ? Oh non, n’entrez pas là dedans vous vous embrouillerez, et lorsque vous aurez fini vos pensées plus ou moins intelligentes et empruntes de sociologie profonde sur « pourquoi ce gamin ment-il comme un pur petit salaud, il sera déjà parti, et ce depuis longtemps.

Car oui, il est lâche au possible, et, acculé à un mur, il cherchera à vous embrouiller pour avoir une chance de se faire la belle. C’est un maître de l’évasion, rapide et souple comme une anguille, vicieux comme un serpent et pénible comme un… comme ce que vous voulez tant une c’est pénible. Il est un otage pitoyable et geignard, une teigne et un beau parleur fourbe. Et en est diablement fier. Fier de lui-même et de ses conneries, imbu de sa personne. Il méprise tous ceux qui ne sont pas comme lui, les étrangers, mais est triste de ne pas plus les comprendre, il voudrait tout savoir. Il dit savoir plein de chose, être incollable, mais il est en recherche constante de nouvelles choses. Studieux et silencieux dans ces cas là, il veut tout savoir. Il est plutôt doué en toutes les matières à l'exception du sport et de ce qui est scientifique.

Ce qui est quand même paradoxal avec lui, c’est cette foi, cette croyance en quelque chose de supérieur. Il croit en le fait que quelque chose existe là haut, quelque chose qui le rassure quant à ce qu'il peut y avoir après la mort. Car il a extrêmement peur de la mort, une peur presque maladive. N'essayez pas de jouer au con avec les blasphèmes et autres hérésies, le mur, votre tête, le mur, votre tête, vous comprenez ?

Un dernier détail, il est légèrement, un peu, potentiellement pyromane. Comment cela se fais-ce ? Un bambou dans le jardin, vous voyez ceux avec les franges qui ressemblent à des feux de Bengale une fois allumé... un briquet, et c'était fun. Très fun. En résumé rapide il est quelqu'un de fier, un peu trop peureux pour être honnête lors des moments ou on dot vraiment lui faire confiance. Cependant, derrière ces descriptions noires et avilissantes se cache une dernière chose, une qualité cette fois. Une lumière dans tout cet être fourbe. Le pardon. Ce pardon, qui le rend faible, ouvert aux autres. Quelqu’un le bouscule et ce sera lui-même qui s’excusera. On le poignardera, il trouvera une raison à cet assassin qui le traquait. Il n’a aucune raison de faire ça, mais veut que le monde marche à ce sens, au sens que chacun vie heureux C’est son rêve qu’il n’y ait pus de comptes, et cela doit commencer quelque part. Il n’en a rien à faire des blessures, de la peine et du sang, il exécute son Grand Œuvre, à son sens, cela commencera par lui, qui n’est qu’un maillon dans une chaîne. Idiot, peut être, fourbe sûrement, lâche à tous les coups, mais il est lui même et ne veut pas changer.

On finit par un j'aime/J'aime pas ? Ok, alors, pour Fabrizio, c'est simple. Il aime le feu, les Croisades, le calme, le silence, dormir en plein jour l'été, regarder le ciel, le printemps en général, discourir sur tout et n'importe quoi la ramener, la self-défenestration volontaire (vous savez pas en quoi ça consiste, bieeeen, vous l'apprendrez, tôt où tard) . Il n'aime pas l'hiver, parce qu'il fait froid, le bruit et l'agitation, qu'un de ses plans rate, le poisson, les légumes, les examens médicaux et scolaires, l'autorité exceptée celle du Seigneur.


Histoire: Ca vaut pas le coup de raconter ça, nan... Si ? Alors, par où commencer, par la naissance ? On a tous une naissance que l'on voudrait exceptionnelle, mais en général on nait à l'hosto en plein milieu d'après midi ou alors en pleine nuit pour les chieurs nés. Mais il y a certaines fois où de un : c'est pas commun, de deux : c'est inattendu et de trois :... ça finit toujours par arriver. Alors, on commence, ayait déjà eu trois gosses et se disant que la quatrième passerait comme une lettre à la poste, une certaine dame en fut rendue à accoucher en plein dans une église parce qu'elle ne l'avait pas senti venir. Excellente celle là non ? Quand je disais que chacun a son anecdote sur sa vie à raconter, Fabrizio, dès sa naissance avait la sienne. Naître sur les dalles d'une église quoi, tranquille... Donc, il était né ! Grande nouvelle, en début d'année en plus, 'faisait froid. Enfin, continuons. Anecdote supplémentaire ? Oh... je vais vous faire rire, le Vatican n'accepte depuis aucune femme enceinte dans ses murs. Ça faisait tâche une accouchante dans la basilique St Pierre. Cette femme, parlons un peu d'elle, n'avait plus de mari. Il était mort il y avait déjà quelques mois et elle cultivait cet espoir secret que son enfant le remplacerait, son héritage en quelque sorte. Mais elle ne le vit jamais, quelques secondes après avoir mis l'enfant au monde, son cœur s'arrêta de battre. Les secours n'étaient arrivés que trop tard. Peut être étais-ce la volonté divine ? Nul ne le sait. L'enfant fut confié à un parent qui habitait pas très loin. Un vieux taré, si vous me passez l'expression.

Vint bien un temps où il faut aller en cours, et là, fallait pas que ça merde sur e plan scolaire. A 12 ans, non content d'accumuler les déboires peut importe une bonne moyenne, l'italien fut envoyé en internat quelque part, loin. Seulement, ça a merdé là aussi, allez encore savoir pourquoi.

C'est là que l'on peut parler d'histoire à proprement parler. 12 ans, à peine capable de piger combien faisaient deux fois deux mais exécutant des plans dignes des maîtres francs des Croisades, Fabrizio entra dans une académie plutôt cotée quelque part, loin loin loin de l'Italie. Fourbe de la part de ses parents, fourbe pensait-il à ce même moment. Seulement cette sensation d'abandon disparut bien vite, bien trop vite même. Les jours qui passaient étaient tous aussi libérateurs les uns que les autres. C'était un poison, et il s'en rendit bien vite compte à mesure que les entrevues chez le directeur se firent les une à la suite des autres. Seulement, il savait argumenter le garçon, et à chaque fois il s'en tirait. Mais, vint un temps où il faut bien se rendre à l'évidence que tout a une fin. L'été perpétuel dans lequel était plongé l'esprit de l'italien fut à jamais changé alors que les premiers déboires amoureux se firent sentir pour lui. Toutes ces conneries, tous ses plans tournaient court après. Ce genre de trucs à long terme qu'il préparait sur des années. Les cible s'en rendaient compte, il était découvert, on lui rendait la pareille de ses crasses. Toujours plus fort. L'administration l'adorait aussi et lui faisait payer le prix de ses erreurs. Il avait fini par savoir ce que c'était les choses qui s'additionnaient. Seulement, il ne se démontait pas. C'était le la folie ou du génie ? Oh, quelqu'un de célèbre dirait que ces deux qualités allaient de pair. Il y avait toujours un peu de soleil dans son monde, le couchant qui s'étalait alors qu'il continuait ses idées.

Un jour, tout se termina, brutalement. Viré, voila ce qu'il lui arriva. Comme le madrier du mangonneau qui s'abat et lance le projectile sur la fragile muraille qui se brise. Il resta encore quelques temps, squattant chez un ami, cherchant une solution pour revenir. C'était bon, là il avait compris. Mais rien n'y faisait, rien ne marchait, ses plans, ses idées. Ses amis qui venaient le voir avaient eux aussi des plans qui paraissaient toujours géniaux. Mais non, rien ne marchait là encore. Un mois passa, et un beau jour une de ses amis vint le voir. "Je vais me tuer" lui avait-elle dit. Il ne l'avait pas crue et cette mort pesa sur sa conscience alors qu'il rentrait chez lui, plein de vide. Le dos encore sanglant de cette promesse qu'il avait scellée avec cette fille qui qui était tout à fait inconnue, une amie de lycée, comme diraient beaucoup. Totalement muet, il ne comprenait pas ce qui s'était passé. Pourquoi ? Se demandait-il. Oui, pourquoi est-ce que cela devait se finir comme ça ? Il état resté le même, n'avait pas voulu suivre tous ces déboires amoureux, ces délires glauques d'amis qu'il connaissait depuis qu'il était gamin. Là était son erreur ? C'était lui qui était en tort ? Il aurait du se la fermer et rester dans son coin en fin de compte, voila son compte rendu à son retour.

Ce parent qui était son responsable hurla, encore et encore. Il ne savait plus quoi faire de lui. Cette idée qui lui restait derrière la tête depuis que ce gamin de huit ans état venu avec un libre, les yeux plein d'espoir lui parler de cette bataille sans nom des Croisades lui sauta à l'esprit. Pourquoi pas ? Ce gamin qui ne parlait plus depuis qu'il était revenu, il fallait bien en faire quelque chose, non ? Bien. Soit, alors. Il ne fallut pas longtemps pour que Fabrizio soit conduit dans un coin reculé du Vatican, sous terre, où la Legio Dei avait son quartier général.

Et ça a été vite, bien vite. Le jeune homme, happé par les évènements de ce groupe hétéroclite oublia les déboires qu'il avait vus pendant cette seule année passée loin de chez lui. Il était né dans ce pays non ? Et bien, il allait continuer à œuvrer, aussi silencieusement et aussi continuellement que possible avec cette chaîne appelée remord qui pesait de moins en moins autour de son cœur. Il avait compris qu'il devait vivre avc, et non pas la supporter comme un fardeau. Au contraire elle devait l'aider à avancer.

« Silencieusement ? Mais vous vous foutez de ma gueule ! L'Armée Rouge elle pourrait bien venir, non je me taierais pas. Qu'elle vienne seulement, qu'elle vienne! »

Vous l'aurez compris, à cœur vaillant, rien d'impossible.

Code de validation: Les vrais vampires ne craignent pas l'ail!!!!
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Alessandro Ricci
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Alessandro Ricci


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Date d'inscription : 06/04/2010
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MessageSujet: Re: On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si]   On atteint des sommets dans la bassesse de l'abrutisme... [pas DU TOUT finie... en fait, si] Icon_minitimeMer 20 Avr - 2:50

sympa Smile

ya juste un truc qui me dérange, comment son "parent" est au courant pour la legio?
sinon ok pour moi

test rp:

40 lignes sur ses rapports avec les autres dans la legio
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